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    Dry january : une nouvelle année sous le signe de la sobriété

    Nous y voilà : 2024 est derrière nous, et nous pouvons dire bonjour à 2025. Le Nouvel An ainsi que Noël ont été riches en émotions ainsi qu’en boissons : whisky, bière ou encore vodka. Tout alcool était bon pour célébrer en famille ou entre amis. Avec la nouvelle année, c’est le moment de prendre de bonnes réso­lu­tions. Pour certains, il est temps de se lancer un défi : le Dry January. Comme Clara Heim, étudiante, qui s’est lancée dans ce challenge pour étancher sa soif de défis.

    Un mois de janvier assez sec

    Le Dry January ou le janvier sec pour nous fran­co­phones est une pratique ori­gi­naire du pays du thé, et de la royauté : Le Royaume-​Uni. Initiative de l’organisation l’Alcohol Change, cette pratique a pour objectif d’inciter la popu­la­tion à modérer sa consom­ma­tion d’alcool. La règle est simple : ne pas boire d’alcool du 1 au 31 janvier 2025.

    Une épreuve insur­mon­table pour les fêtards, mais cela n’a pas découragé Clara de relever le défi « J’ai voulu essayer le Dry January après les fêtes qui sont toujours exces­sives par rapport à l’alcool. » Ce défi, elle le fait avant tout pour elle : « C’est est avant tout pour moi, c’est pour me challenger. »

    Toutefois, elle n’est pas seule, elle est accom­pa­gnée dans cette épreuve. Malgré quelques com­pli­ca­tions elle a pu encou­ra­ger ses amis à se prendre au jeu : « Ce n’était pas facile, mais j’ai réussi à motiver plusieurs personnes de mon entourage, notamment ma meilleure amie. »

    Plus qu’un simple défi

    Toutefois un mois reste long, les ten­ta­tions se mul­ti­plient de jour en jour comme elle le confirme : « c’est avant tout une question mentale c’est une attitude à avoir. » Le Dry January montre aussi la dépen­dance des étudiants face à l’alcool.

    Étant une étudiante en master sur le droit de la santé. La question de l’alcoolémie pour Clara n’est pas assez mise en avant, comme elle le déplore « l’alcoolisme chez les étudiants n’est pas assez mis en avant et je pense que c’est un bon moyen de le dénoncer ». Ainsi pour elle, plus qu’un simple défi, le Dry January permet un nouveau départ pour ceux qui sou­hai­te­raient sortir de l’alcoolisme.

    Bien évi­dem­ment ce défi ne dure que pendant le mois de janvier. Cependant rien n’empêche de continuer sur l’année 2025. Il faut aussi rappeler que l’alcool doit être consommé avec modé­ra­tion pour éviter des problèmes de santé. En 2024, la Ligue contre le Cancer a recensé 30 000 cas à la suite d’une consom­ma­tion excessive en 2024. Un chiffre alarmant si on l’associe aux 49 000 décès provoqués par la boisson, soit 4% de la mor­ta­li­tés cher les jeunes de plus de 15 ans.

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