Plus

    Derniers articles

    Dans la métropole lilloise, les fausses alertes à la bombe se multiplient

    Depuis le tragique attentat au lycée d’Arras, les alertes...

    Lutter contre la violence LGBTphobe à l’école : et pourquoi pas un escape-​game sur l’his­toire queer ?

    Alors que les chiffres du ministère de l’Intérieur, et...

    L’histoire derrière les œuvres les plus célèbres de Jean René expose dans le vieux Lille.

    Depuis vingt ans, l'artiste de rue français Jean-René, plus...

    Les séquelles du Covid-​19 flottent toujours dans l’esprit des étudiants

    Depuis quelques années, la Covid-​19 et ses res­tric­tions ont quitté le quotidien des Français, mais un mal-​être persiste chez les étudiants. Le pro­fes­seur Lucas de Zorzi, maître de confé­rence en neu­ros­ciences à l’université de Lille, nous éclaire sur le sujet.

    Comment les res­tric­tions de la pandémie ont-​elles encore des effets aujourd’hui ?

    Avec l’isolement social et les res­tric­tions, il y a eu beaucoup de stress qui n’en finissait pas. Un stress aussi intense pendant longtemps pré­dis­pose à des symptômes de dépres­sion et d’anxiété. Biologiquement, on peut aussi supposer qu’une infection du coro­na­vi­rus ait des effets sur ces symptômes. On sait qu’il y a un lien entre le système immu­ni­taire et des symptômes dépres­sifs, comme dans la mono­nu­cléose. On pourrait alors supposer un lien entre une infection au Covid-​19 et ces symptômes dépres­sifs observés.

    Quels autres facteurs ont contribué à alimenter ce mal-être ?

    Après la crise sanitaire, il y a aujourd’hui un contexte géo­po­li­tique inquié­tant, avec un conflit en Europe. Il y a aussi le dérè­gle­ment cli­ma­tique, les échéances se rap­prochent à une période où les étudiants actuels seront dans leur vie active. Ils doivent alors se projeter dans un avenir, loin d’être paisible.

    Peut-​on espérer des résultats moins alarmants à l’avenir ?

    La période de tran­si­tion du lycée à l’université est impor­tante dans le déve­lop­pe­ment de l’autonomie, de la res­pon­sa­bi­lité de la personne. L’élève perd tout l’encadrement, ses repères et doit trouver une nouvelle dynamique. Dans quelques années, les futurs étudiants n’auront pas vécu cette période de tran­si­tion en confi­ne­ment, ils pourront mieux s’adapter, et alors on peut espérer des résultats plus rassurants.

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver...

    Angoisse, Poil, Mouais… Ces villages aux noms qui font sourire

    La plupart des noms de villes, comme Lille, ne...

    Guerre en Ukraine : Un cessez-​le-​feu partiel accepté par Poutine et Zelensky

    Après des semaines de négociations, l’Ukraine et la Russie...

    Contrepoint n°37

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver leur place sur un marché du travail saturé. Derrière les beaux discours des écoles, la...

    2025, l’ar­chi­tec­ture bruxel­loise à l’honneur

    À Bruxelles, du Palais des Beaux-Arts à l'Hôtel Solvay, Victor Horta s'est imposé comme l'architecte phare de l'art nouveau. De l'art nouveau est né...

    Avant, après : la Bruxellisation en photos

    Livrée à des promoteurs rêvant de grandeur et de modernité, la ville de Bruxelles a, à partir de la seconde moitié du XXe siècle,...