Bien plus qu’un simple attribut physique, les cheveux portent une identité, une histoire et parfois, des préjugés. Pourtant certaines textures capillaires demeurent stigmatisées, donnant lieu à des discriminations encore trop peu reconnues.
« Il vaudrait mieux que tu t’attaches les cheveux, ça fait sauvage, limite sale. » Ces mots, entendus par l’influenceuse Kenza Bel Kenadil, illustrent le phénomène de discrimination capillaire. Remarques, moqueries, entretiens refusés : les cheveux texturés, bouclés ou crépus sont souvent ciblés par des préjugés. Contrepoint prépare une enquête sur ce fait de société. Vous êtes un homme ou une femme, et vous avez déjà subi des remarques déplacées ou discriminatoires liées à vos cheveux, témoignez ! Nous cherchons aussi des témoignages de coiffeurs, sociologues ou spécialistes pour enrichir notre enquête.
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