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    En Picardie, on teste la semaine de quatre jours

    A partir de mars prochain, les salariés de l’Ursaff Picardie pourront tester la semaine de quatre jours de travail. Annoncée par Gabriel Attal, le ministre délégué aux Comptes publics, cette mesure doit favoriser le bien-​être des salariés au travail.

    « Soutenir le travail, c’est aussi accepter que certains aspirent à tra­vailler dif­fé­rem­ment », a déclaré ce mercredi 1er février Gabril Attal, le ministre délégué aux Comptes publics, au micro de France Inter. Et tra­vailler dif­fé­rem­ment c’est, par exemple, opter pour la semaine de quatre jours. En Picardie, ce sont les agents de l’Union de recou­vre­ment des coti­sa­tions de Sécurité sociale et d’al­lo­ca­tions fami­liales (Ursaff) qui vont donc tester la semaine de 36 heures en quatre jours, une expé­ri­men­ta­tion que le ministre avait annoncé dans le journal L’Opinion.

    Le but ? Favoriser le bien-​être des salariés et améliorer leur qualité de vie. L’occasion aussi pour le gou­ver­ne­ment, en pleine crise de la réforme des retraites, d’ouvrir un nouveau champ de réflexion : celui du rapport des Français au travail. Sur les 300 salariés de l’Ursaff, 200 sont éligibles. Selon un sondage mené par la direction locale de l’Urssaf, 70 % des salariés y sont favo­rables et 25 % envi­sagent d’y avoir recours.

    Une expé­ri­men­ta­tion pendant un an

    Pour Anne-​Sophie Rousseau, invitée de France 3 Picardie, « Ce sont des personnes qui vont faire des journées de 9 heures par jour. La contre­par­tie, c’est cette journée fixe pendant laquelle vous ne pensez pas au travail. Et ce sera à la charge de l’Urssaf de continuer bien évi­dem­ment l’organisation du service public que l’on doit à nos cotisants. Et donc tout le monde n’aura pas le vendredi par exemple ».

    Basée sur le volon­ta­riat, cette expé­ri­men­ta­tion débutera au mois de mars prochain et durera un an, jusqu’en mars 2024. Quelques entre­prises fran­çaises ont déjà tenté l’ex­pé­rience, le groupe LDLC étant le dernier en date. Mais pour l’instant, la semaine de quatre jours n’a été adoptée que par 5 % des entreprises.

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