Plus

    Derniers articles

    Les soutifs ont plus d’un tour dans leurs bonnets !

    « Upcycler » ses sous-vêtements en un coup… d’aiguille ? C’est...

    Retraite : rencontre avec ces salariés usés qui vont devoir tra­vailler plus

    Prévue par le gouvernement, la réforme des retraites repousse...

    À Roubaix, la com­mu­nauté turque s’or­ga­nise pour les victimes du séisme

    Après l’important séisme qui a frappé la Turquie et...

    Des écoles sans déchet, ça ressemble à quoi ?

    Entre feutres et pots de colle, les écoles ne sont pas toujours les premières de la classe en matière d’écologie. Mais certaines écoles essayent de s’améliorer comme à Haubourdin dans les écoles de La Sagesse et Saint-​Michel, ils nous ont livré leur recette.

    Les enfants des écoles La Sagesse et Saint-​Michel s’engagent pour le zéro déchet. @Margaux Verdonckt

    1- Ne pas produire de déchets

    La première étape pour être une école zéro déchet, c’est éviter d’en produire. Julie Régent, ins­ti­tu­trice en charge de la mise au vert des écoles, explique que “les enfants dessinent avec des crayons de couleur et non plus des feutres qui sèchent au bout de trois semaines”. Les feutres pour le tableau ont été remplacés par des sortes de craies grasses, qui écrivent tout aussi bien et s’ef­facent avec seulement un chiffon et de l’eau. Les tubes de colle ont été troqués pour des pots à recharger de colle achetés en gros.

    Les copeaux de crayons de couleur ne sont pas jetés mais réuti­li­sés. @Margaux Verdonckt

    2- Réutiliser les déchets

    Les copeaux de crayons de couleurs sont utilisés pour faire des ateliers créatifs. Les enfants sont encou­ra­gés à apporter de vieux vêtements pour tricoter des tawashis, petites éponges faîtes de mailles de vieux tissus. “Des bou­teilles en plastic ont été col­lec­tées auprès des familles pour construire des sculp­tures”.

    Les pots sont remplis avec de la colle achetée en gros. @Margaux Verdonckt

    3- Sensibiliser à l’écologie

    Nous avons un jardin partagé où les enfants apprennent à produire leur propre nour­ri­ture”, explique Julie Régent. Une asso­cia­tion a aussi été créée, “les passeurs de nature” pour que des inter­ve­nants comme Sea Shepherd viennent expliquer aux enfants comment ils peuvent au quotidien changer les choses.

    Taxe Zucman : pourquoi divise-​t-​elle autant ?

    Plébiscitée par l’opinion, rejetée par une partie des élites,...

    Légers, confor­tables mais… vul­né­rables : les nouveaux V’Lille retirés du service

    Déployé mi-septembre, le nouveau V’Lille avait tout pour plaire...

    Lille Street Food festival : Le rendez-​vous aux mille et une saveurs

    Le rendez-vous annuel des Lillois est de retour !...

    Contrepoint n°38

    Légers, confor­tables mais… vul­né­rables : les nouveaux V’Lille retirés du service

    Déployé mi-septembre, le nouveau V’Lille avait tout pour plaire : plus léger, plus agréable, plus moderne. Mais très vite, l’enthousiasme s’est heurté à la...

    Lille Street Food festival : Le rendez-​vous aux mille et une saveurs

    Le rendez-vous annuel des Lillois est de retour ! En effet, sur la grande place de Saintignon, c’est un véritable buffet qui n’attend que...

    Marcher vite, baisser les yeux : le quotidien des Lilloises dans la rue

    Depuis 2018, la loi punit l’outrage sexiste, incluant les paroles et les gestes à connotation sexuelle. Sept ans après, bien qu’il y ait eu...