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    La corrida, un combat qui tente de survivre sur les réseaux sociaux

    Sujet plus que polémique, la corrida oppose deux mondes. Celui des fervents défen­seurs de la tradition, de l’héritage culturel, et celui des alliés de la cause animale dénonçant la cruauté de cette pratique. Si le 24 novembre dernier, la pro­po­si­tion de loi du député ani­ma­liste Aymeric Carron a fina­le­ment dû être retirée, faute de temps pour en débattre, le combat, lui, ne s’est pas arrêté sur les réseaux sociaux. C’est d’ailleurs là que tout se joue.

    Ancestralement pratiquée, la corrida, qui faisait certes parler d’elle depuis longtemps dans les milieux de la pro­tec­tion animale, demeurait alors une coutume peu connue, en tout cas peu débattue chez les jeunes géné­ra­tions. Il aura fallu attendre la campagne anti-​corrida du député à La France Insoumise et sa pro­po­si­tion de loi visant à l’interdire pour que le sujet enflamme les réseaux sociaux. Les pros comme les contres. En même temps, quels meilleurs endroits pour faire valoir son opinion que Twitter ou Instagram ?

    Les réseaux pour débattre et persuader

    Ils sont les lieux de débat des jeunes géné­ra­tions depuis une dizaine d’années. Les réseaux sociaux comme Twitter ou Instagram sont un moyen de com­mu­ni­ca­tion des idées et des valeurs très répandu chez les 18 – 25 ans. Pour beaucoup, ils sont la source d’information prin­ci­pale. Rien d’étonnant à ce que ce soit l’endroit où les idées se forgent chez les plus jeunes. C’est aussi là qu’elles se débattent. De nombreux sujets sont mis sur la table et sont discutés, si l’on peut parler ainsi, puisque la virulence des échanges étouffe rapi­de­ment la construc­ti­vité. Le sujet de la corrida n’a donc pas fait exception chez les uti­li­sa­teurs de ces réseaux qui se sont empressés de donner un avis plus ou moins éclairé sur la question. C’est pourquoi, après qu’un fort mouvement ani­ma­liste ait dénoncé la « barbarie » de cette coutume, les premiers concernés ont choisi de rentrer dans ce jeu de com­mu­ni­ca­tion pour faire connaître, respecter et pourquoi pas aimer leur tradition qu’ils consi­dèrent comme un art de vivre. On a pu voir alors de plus en plus de partisans de la tau­ro­ma­chie se tourner vers les réseaux sociaux pour protéger et faire valoir leur métier et passion contre cette nouvelle invective anti-​corrida. De nombreux comptes Instagram et TikTok pro­meuvent l’art à travers la corrida, per­met­tant aux plus étrangers de la coutume de découvrir un usage hors du commun du Sud de la France. Une campagne de com­mu­ni­ca­tion reçue par certains comme une pro­pa­gande visant à dédia­bo­li­ser la corrida mais qui a le mérite d’ouvrir un débat instruit et éclairé.

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