Plus

    Derniers articles

    Dominique : un artiste phi­lo­sophe au cœur du vieux Lille

    Dans un petit atelier place des Arts, un homme...

    Figure de la révo­lu­tion égyp­tienne, Alaa Abdel Fattah a cessé sa grève de la faim

    Actuellement incarcéré dans la prison Wadi El-Natroun au nord-ouest...

    Quatre idées de sorties à Lille

    Un livre : Trois Trois jeunes se rencontrent en CM2...

    Le prince William rend une visite surprise aux troupes près de la frontière ukraino-polonaise

    Le prince William de Grande-​Bretagne a effectué mercredi une rare visite inopinée en Pologne. Il a rencontré les troupes bri­tan­niques et polo­naises sta­tion­nées près de la frontière ukraino-​polonaise et a salué leur « coopé­ra­tion en faveur du peuple ukrainien et de sa liberté ». 

    Le prince de Galles s’est d’abord rendu à la base de la 3e brigade des forces de défense ter­ri­to­riale à Rzeszów, où il a rencontré le ministre polonais de la défense, Mariusz Blaszczak, et a vu une expo­si­tion d’é­qui­pe­ments mili­taires. À cette occasion, il s’est entretenu avec des soldats bri­tan­niques et polonais au sujet de la solide cama­ra­de­rie qui s’est formée depuis qu’ils ont commencé à tra­vailler ensemble. 

    Le prince, âgé de 40 ans, a ensuite rencontré des membres des forces armées bri­tan­niques pour en savoir plus sur leur col­la­bo­ra­tion avec leurs homo­logues polonais dans le cadre des opé­ra­tions de soutien à l’Ukraine. Après son atter­ris­sage à Varsovie, la capitale polonaise, William a déclaré qu’il était « fan­tas­tique » d’être de retour en Pologne. « Nos deux pays entre­tiennent des liens étroits. Grâce à notre coopé­ra­tion en faveur du peuple ukrainien et de sa liberté, qui est aussi la nôtre et la vôtre, ces liens sont encore renforcés », a déclaré l’hé­ri­tier du trône britannique.

    Premier voyage de William en Pologne depuis une visite en 2017 avec son épouse

    Il s’agit du premier voyage de William en Pologne depuis une visite en 2017 avec son épouse, Catherine, princesse de Galles, et le prince est également désireux de mieux com­prendre comment le pays a fait preuve de com­pas­sion à l’égard de ses voisins ukrai­niens. Après la visite surprise des troupes, William s’est rendu à Varsovie où il a visité un centre d’hé­ber­ge­ment, pour voir la réponse huma­ni­taire que la Pologne fournit aux Ukrainiens fuyant la guerre.

    En première ligne de la crise huma­ni­taire, le centre héberge environ 300 femmes et enfants récemment arrivés dans le pays et qui ne sont pas encore intégrés dans les com­mu­nau­tés locales. L’ancien immeuble de bureaux trans­formé en centre d’hé­ber­ge­ment est géré par la ville de Varsovie. Il a ouvert ses portes peu après que les forces russes ont envahi les fron­tières de l’Ukraine sans avoir été pro­vo­quées. Plus de 8 millions d’Ukrainiens ont fui vers les pays voisins depuis le début de la guerre. Selon les esti­ma­tions du gou­ver­ne­ment, il reste au moins 1,5 million de réfugiés ukrai­niens en Pologne.

    Les réfugiés ukrai­niens reçoivent deux repas par jour et disposent de diverses res­sources, notamment des cours de polonais, une aide à l’emploi et un soutien psy­cho­lo­gique, tandis que leurs enfants profitent des aires de jeux mises à leur disposition.

    Le couple royal a été accueilli par le maire de la ville et il s’est entretenu avec certains des Ukrainiens déplacés qui vivent dans le centre, afin d’en savoir plus sur les raisons qui les ont amenés à s’ins­tal­ler en Pologne.

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution a été votée par le gouvernement belge. Une avancée historique qui devrait aider les travailleuses...

    Le Cabaret Mademoiselle : des show incan­des­cents où les éti­quettes n’ont pas leur place !

    Néons violets, murs tapis de noir et petite scène étriquée, au Cabaret Mademoiselle, chaque week-end, la salle est rythmée par des perfomances plus détonnantes...

    Bruxelles, ville 30 km/​h : toujours une bonne idée ?

    Mise en place en 2021 par la ministre écologiste de la Mobilité, Elke Van Den Brandt, la zone de circulation à 30 km/h est...