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    Les coussins chauf­fants, l’al­ter­na­tive éco­lo­gique aux terrasses chauffées

    Avec l’interdiction des chauf­fages électriques sur les terrasses françaises, les coussins chauf­fants intéressent de plus en plus de pro­fes­sion­nels. La marque nordiste « Cuchöt », spécialisée dans ce domaine et avec une ambition écologique, tente de conquérir les cafés lillois.

    Au « Passage Rihour », une brasserie du centre-​ville de Lille, on peut désormais boire un verre à l’extérieur en plein hiver, sans fris­son­ner. Pas de radiateur ni de brasero, mais des coussins rouges posés sur les chaises, qui préservent le postérieur des clients du froid sans pour autant réchauffer leurs bières.

    Un coussin made in France

    « Réchauffer la Lune, pas la Terre », c’est l’idée de Valérie Dhellemes et Pascale Nollet, les fon­da­trices des coussins « Cuchöt ». Une ambition écologique née avant l’interdiction des terrasses chauffées, en vigueur depuis mars 2022 en France. « Nos produits sont 100% français, d’où le nom, « Cuchöt », qui ressemble à Cruchot, le per­son­nage de Louis de Funès dans Les gendarmes de Saint-​Tropez, un symbole très français », précise Pascale Nollet. Ces coussins, dotés d’une batterie rechar­geable, consomment largement moins que les radia­teurs électriques, qui avaient un impact écologique conséquent du fait de leurs besoins en énergie.

    Un accueil positif

    Ophélie Thomas, manager du « Passage Rihour », se félicite de cet inves­tis­se­ment, d’un montant de 350 € par coussin. « Depuis l’achat de ces coussins, nous sommes à plus de 110% de notre chiffre d’affaires et les habitués sont ravis ! » Un premier succès encou­ra­geant pour « Cuchöt », qui compte se développer davantage dans les pro­chaines années, comme l’explique Pascale Nollet : « L’objectif est de passer de l’artisanat à l’industriel pour pouvoir également cibler les par­ti­cu­liers ».

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