Plus

    Derniers articles

    27 janvier : une journée dédiée à la mémoire des victimes de la Shoah 

    Il y a 80 ans jour pour jour Auschwitz-Birkenau...

    Séries Mania, le coup de pro­jec­teur éco­no­mique de Lille

    Coup d’envoi ce week-end pour la 8e édition de...

    Les portions des repas uni­ver­si­taires ont-​elles été réduites ?

    C’est une rumeur qui traverse les couloirs des universités...

    L’Observatoire royal de Bruxelles : une fenêtre sur notre galaxie

    Situé au sud de Bruxelles, dans la commune d’Uccle, l’Observatoire royal de Belgique va bientôt fêter ses 200 ans. Spécialisé dans l’astronomie, la science des astres et de l’Univers, l’Observatoire s’intéresse également à notre planète et à sa composition.

    Fondé en 1826 par Adolphe Quetelet, un mathé­ma­ti­cien, l’Observatoire devra attendre 1890 pour être renommé « Observatoire royal de Belgique », après son démé­na­ge­ment à Uccle où il se situe actuel­le­ment. Il étend ses recherches « du centre de la Terre jusqu’aux confins de la galaxie » explique Lê Binh San Pham, ancienne scien­ti­fique et chargée de com­mu­ni­ca­tion à l’Observatoire. De l’étude des étoiles en passant par l’intérieur de la Terre jusqu’à celui des planètes, notre galaxie est scrutée par la centaine de scien­ti­fiques qui y tra­vaillent. 

    Une col­la­bo­ra­tion internationale

    « En général en science, c’est rare de tra­vailler seul », raconte le docteur Pham, c’est pour cela que l’Observatoire collabore avec des agences spatiale telles que l’ESA (euro­péenne) ou la NASA (amé­ri­caine) et d’autres instituts étrangers. Ils coopèrent sur dif­fé­rents projets comme GAIA, la mission spatiale euro­péenne, qui se charge de regrouper des données sur « la vitesse à laquelle les étoiles s’éloignent et se rap­prochent de nous » explique-​t-​elle. 

    Le soleil : une grande partie des recherches

    « Plus de la moitié de nos scien­ti­fiques se concentre sur le Soleil » précise-​t-​elle. Avec son télescope solaire, l’Observatoire est l’endroit idéal pour regarder de plus près les taches de notre soleil et prévoir les éruptions solaires. Ces dernières sont sans danger pour l’homme mais elles risquent de perturber l’électronique de notre planète, ce qui en fait un sujet de recherche essentiel pour la société. Jusqu’en 2016, des téles­copes nocturnes étaient encore en service. Désormais ils ne sont plus qu’observables durant les portes ouvertes, posant fièrement en tant que patri­moine de ce bâtiment.

    Pour Noël, Lille se met au vert

    Chaque année, les illuminations sont de sortie à l’approche...

    Émotion chez les otaries de Nausicaá

    Triste nouvelle à Boulogne-sur-Mer. L’aquarium de Nausicaá a annoncé...

    Mbappé, l’OM providentiel

    18 matchs sans défaite pour 13 buts inscrits. C’est...

    Contrepoint n°42

    Fermeture des Lilas : la crise des mater­ni­tés fran­çaises sous les projecteurs

    Vendredi 31 octobre, la maternité des Lilas, en Seine-Saint-Denis, a fermé ses portes après soixante ans d’existence. Pionnière de l’accouchement sans douleur, cette institution...

    SEPas d’ma faute : Quand l’utile rencontre l’agréable

    À Haverskerque, l’association SEPas d’ma faute s’engage au quotidien à faire connaître la Sclérose en Plaques au plus grand nombre. Entre ateliers créatifs, actions...

    Mois sans tabac : ils racontent leur lutte contre l’addiction

    À l’occasion du Mois sans tabac, les campagnes de prévention se multiplient pour encourager les fumeurs à renoncer à la cigarette. Mais derrière chaque...