Plus

    Derniers articles

    Pourquoi autant de temps addi­tion­nel pendant les matchs de la coupe du monde ?

    Depuis le début du mondial, les matchs semblent durer...

    Et si la France avait décidé de boycotter la Coupe du monde au Qatar ?

    Alors que la Coupe du monde au Qatar vient...

    “Sans partage, l’œuvre ne vit pas”

    Ce sont les mots de François Bou, directeur général...

    Repair café : le domaine de la répa­ra­tion en plein essor

    La région des Hauts-​de-​France est la plus dense en ce qui concerne les ateliers de répa­ra­tion. Parmi eux, les repair cafés qui per­mettent de réparer ses objets gra­tui­te­ment. Un concept de plus en plus populaire.

    Ils sont au nombre de 120 dans les Hauts-​de-​France. Les repair cafés attirent de plus en plus de monde pour faire réparer ses objets. C’est le cas de Safia, qui y vient depuis trois ans. Ce jour-​là, elle était à celui de Villeneuve d’Ascq pour restaurer sa machine à café. « La dernière fois, j’étais venue pour faire réparer mon aspi­ra­teur, et il s’est avéré que c’était juste un fil qui s’était un peu déchiré. Ça aurait été dommage de le jeter ». Un service efficace qui profite également à la planète. « Je viens aussi ici pour des raisons éco­lo­giques. C’est mieux de réparer les objets qui peuvent encore être sauvés, plutôt que de jeter direc­te­ment et devoir en acheter des nouveaux ».

    Une solution pour faire des économies

    Faire réparer ses objets au repair café, c’est gratuit. « La prin­ci­pale raison qui fait que je viens ici est finan­cière. Ça m’évite de payer de nouveaux objets ». Le domaine de la répa­ra­tion est en plein essor et est devenu un véritable business. Des grandes enseignes ont intégré un système de répa­ra­tion, comme Darty ou Decathlon. Il existe même une start-​up, Murphy, qui propose une formation de tech­ni­cien. Mais pour faire réparer ses objets, il faut compter une centaine d’euros. Au repair café, c’est gratuit.

    Tout le monde peut devenir réparateur

    Une des spé­ci­fi­ci­tés des repair cafés est que les répa­ra­teurs ne sont pas des pro­fes­sion­nels. Ce sont des bénévoles, pas­sion­nés de la répa­ra­tion. « Il faut avoir un sens du dépannage et de la main­te­nance. Après, on apprend sur le moment » explique l’un des répa­ra­teurs à Villeneuve d’Ascq. Audrey Roussel, la res­pon­sable de ce repair café, se dit satis­faite des résultats. « Je n’ai presque jamais rencontré d’échec, ils arrivent toujours à réparer les objets. La dernière fois, c’était même un robot Moulinex des années 80. » En trois ans, ils ont accueilli près d’une douzaine de répa­ra­teurs. « On est plein à chaque atelier. Si on avait de la place pour dix ou quinze personnes sup­plé­men­taires à chaque répa­ra­tion, on pourrait les accueillir » ajoute-t-elle.

    Pratique : Trouvez les repair cafés de la région en cliquant ici

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution a été votée par le gouvernement belge. Une avancée historique qui devrait aider les travailleuses...

    Le Cabaret Mademoiselle : des show incan­des­cents où les éti­quettes n’ont pas leur place !

    Néons violets, murs tapis de noir et petite scène étriquée, au Cabaret Mademoiselle, chaque week-end, la salle est rythmée par des perfomances plus détonnantes...

    Bruxelles, ville 30 km/​h : toujours une bonne idée ?

    Mise en place en 2021 par la ministre écologiste de la Mobilité, Elke Van Den Brandt, la zone de circulation à 30 km/h est...