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    Tabagisme étudiant : le stress, coupable idéal ?

    Les étudiants sont parmi les plus gros fumeurs de la popu­la­tion, alors même qu’ils disposent de peu de moyens finan­ciers à y accorder. Ils sont 36 % à fumer, un pour­cen­tage plus élevé que dans le reste de la popu­la­tion et 17 % à fumer quotidiennement.

    Ces sta­tis­tiques englobent les fumeurs réguliers comme les occa­sion­nels. Pourtant, ces têtes pensantes savent que le tabac est la première cause de mortalité évitable en France. Il est res­pon­sable d’environ 75 000 décès par an. Les études supé­rieures sont souvent synonymes de stress, mais contribuent-​elles réel­le­ment à une forte consom­ma­tion de tabac ?

    L’avis de Yannis Psonka, tabacologue

    Les individus sans emploi sont 44 % à fumer quo­ti­dien­ne­ment. Parmi les étudiants, 36 % sont fumeurs (fumeurs réguliers et occa­sion­nels). Le stress des études n’est pas un facteur majeur de consom­ma­tion de tabac. Ce sont plutôt la levée des inter­dic­tions paren­tales, l’effet de groupe et la socia­bi­li­sa­tion qui entrent en jeu. Cette période charnière est aussi marquée par une consom­ma­tion accrue d’alcool et de drogues. Même si les ciga­rettes sont consom­mées de manière occa­sion­nelle, la nicotine est une substance hautement addictive. Plus on s’expose, plus on risque de devenir dépendant. La cigarette a un effet anxio­ly­tique à court terme, mais sur le long terme, les fumeurs deviennent plus stressés. Arrêter de fumer, même tem­po­rai­re­ment, modifie ces sen­sa­tions et permet souvent de constater une amé­lio­ra­tion du bien-​être général.

    Par ailleurs, une personne qui parle de son addiction à un pro­fes­sion­nel de santé a deux fois plus de chances d’arrêter de fumer. Certes, la majorité des personnes qui arrêtent finissent par rechuter, mais chaque tentative est une victoire sur la dépendance.

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