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    TER dans les Hauts-​de-​France : la SNCF abandonne son « plan de transport adapté »

    C’est officiel : le « plan de transport adapté » qui prévoyait la sup­pres­sion de 10% des TER dans la région est reporté. Si la SNCF consent à une cir­cu­la­tion quasiment normale de ses rames pendant les vacances de la Toussaint, la question reste en suspens pour la rentrée.

    Depuis début septembre, le TER est en « mode pompier » : chaque jour, 6,5% des trains régionaux sont supprimés, soit 50 à 80 trains en moins. Le Monde recense jusqu’à 11 000 TER supprimés dans la région depuis le début de l’année. La raison ? Environ 65 conduc­teurs manquent à l’appel. De quoi attiser la colère des usagers de ce service public – près de 140 000 usagers quo­ti­diens selon les chiffres de La Voix du Nord.

    Le plan de transport adapté, une situation jugée « tout à fait inacceptable »

    Mais la société fer­ro­viaire souhaite désormais prendre le taureau par les cornes. Il faut désormais assainir le fonc­tion­ne­ment des rails de la région grâce à son plan de transport adapté. L’idée était de supprimer 10% des trains pour flui­di­fier la cir­cu­la­tion, soit 120 à 140 rames par jour en moins. Mais pour le conseil régional, client de la SNCF, la situation est « tout à fait inac­cep­table ».

    Pour le moment, un compromis semble avoir été trouvé : cette « situation dégradée » est pour l’instant limitée aux seules vacances de la Toussaint. Ce sont 3% des trains qui seront supprimés pendant les vacances, un plan com­pa­rable à ceux mis en place à l’occasion des vacances scolaires et per­met­tant de répondre aux départs en congé des conduc­teurs. Mais le problème de fond demeure. La pénurie de conduc­teurs perdure, et les sup­pres­sions de TER s’accumulent. Si les usagers pourront circuler quasiment nor­ma­le­ment sur le réseau pendant les vacances de la Toussaint, qu’en sera-​t-​il à la rentrée ? La question reste pour l’instant en suspens.

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