Plus

    Derniers articles

    Pour son nouveau roman, « Un Animal Sauvage » Joël Dicker sera au Furet mercredi 28

    L’écrivain suisse Joël Dicker, l’auteur aux vingt millions de...

    L’Éducation nationale, mauvais élève en matière d’éducation à la sexualité

    Des marées violettes ont déferlé dans les rues de...

    Autoentrepreneur en archi­tec­ture : Samuel Le Grégam nous explique les ficelles du métier

    Samuel Le Grégam, architecte de formation, nous partage son...

    Micro-​trottoir : allez-​vous moins au cinéma ?

    © Mathieu Pinet

    « Je vais voir assez peu de films français »

    Alban Carlier, 22 ans, étudiant.

    Je vais au cinéma fré­quem­ment mais je pense que les prix en rebutent plus d’un. Pour les jeunes il existe des offres inté­res­santes avec le pass culture et les tarifs avan­ta­geux mais pour les adultes c’est tout de suite plus compliqué. Je vais voir assez peu de films français, le dernier en date était Bac Nord.

    © Mathieu Pinet

    « Mes contraintes fami­liales font que c’est difficile »

    Alexandra Bertrand, 49 ans, conseillère en finance.

    Aller au cinéma, quand on a un travail, ça suppose de s’organiser pour trouver du temps libre pour y aller. J’ai aussi des contraintes fami­liales qui font que c’est difficile. Il y a les pla­te­formes comme Netflix qui proposent des films et des séries qui jouent en défaveur du cinéma.

    © Mathieu Pinet

    « Les prix sont devenus trop élevés »

    Ali Mellouki, 67 ans, retraité.

    Je ne vais au cinéma qu’une fois par mois. Je n’ai pas les moyens d’y aller plus souvent, ma petite retraite ne me le permet pas. Avant j’y allais environ cinq ou six fois par mois. Aujourd’hui les prix sont devenus trop élevés. Je trouve pourtant que la sélection de films proposés est toujours très intéressante.

    © Mathieu Pinet

    « Avec Netflix je vais moins au cinéma »

    Zélie Menu, 19 ans, étudiante.

    Je suis étudiante donc le prix des places n’est pas com­pa­tible avec mon budget. Chez moi j’ai accès à Netflix, aux pla­te­formes de streaming donc je ne prends pas forcément le temps d’aller au cinéma. Cela me prend par période, en fonction des films à l’affiche. Les salles obscures devraient être plus acces­sibles aux étudiants.

    Au fait, que deviennent vos coquilles de moules de la Braderie ? 

    Qui dit braderie de Lille, dit moules-frites. À la...

    À Lille, des « safe places » contre le har­cè­le­ment pendant la Braderie

    Pour la première fois, Ilévia et la Ville de...

    Braderie de Lille : quand la fête bascule à l’excès

    Chaque année, la Braderie de Lille attire des centaines...

    Contrepoint n°37

    À Lille, des « safe places » contre le har­cè­le­ment pendant la Braderie

    Pour la première fois, Ilévia et la Ville de Lille ont installé des espaces sécurisés dans le métro et en centre-ville, permettant aux victimes...

    Moules, frites et tra­di­tions : les chiffres qui ont fait vibrer la Braderie de Lille 2025

    500 tonnes de moules, 30 tonnes de frites et des visiteurs venus par millions : la Braderie de Lille 2025 a célébré comme jamais...

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver leur place sur un marché du travail saturé. Derrière les beaux discours des écoles, la...