Plus

    Derniers articles

    Israël interdit les drapeaux pales­ti­niens dans l’espace public

    C'est une décision politique lourde de symbolisme qui a...

    Les titres-​restaurant sont de retour jusqu’à fin 2026

    Conséquence de la censure du gouvernement Michel Barnier, les...

    Après Bayrou, l’ère Lecornu : les étudiants dans l’attente de réponses

    Renversé par l’Assemblée nationale le 8 septembre lors d’un...

    Antoine Ramette, ce Valenciennois mordu du Tour de France : “C’est de la folie !”

    Depuis quatre années main­te­nant, Antoine Ramette, 25 ans, vit de trés prés la folle aventure du Tour de France. Caravanier cette année avec le sponsor Orangina, il a posé un congé sans soldes pour goûter une nouvelle fois à la Grande Boucle. 

    C’est main­te­nant devenu une habitude longue de quatre années pour le Valenciennois Antoine Ramette. Pendant le mois de juillet et d’aout, pas de vacances, pour lui, c’est le Tour de France, et rien d’autre. Durant 21 jours, il prend plaisir à parcourir les routes de France, découvrir de nouvelles régions et faire de nouvelles ren­contres. Cette année, il était le conduc­teur de la caravane Orangina qui précède le passage des coureurs, mais avant ça, et pendant trois ans, il était chargé de la pose de signa­lé­tiques avec la société Doublet. Son nouveau rôle de cara­va­nier lui a permis d’être au plus près de l’action : “Pour moi, le Tour de France, c’est de la folie, c’est incroyable. Pendant un mois, on voit des paysages magni­fiques, on est pris par l’ambiance sur le bord des routes. Quand on monte les cols, on sent la foule, on voit les gens se rabattre sur la route, c’est quelque chose de très fort”, s’exclame Antoine, pas forcément mordu par le vélo, mais déjà tota­le­ment accro à son ambiance toute particulière.

    Un job d’été devenu sa passion

    Avoir la chance d’être sur le Tour chaque année, ce n’est pas forcément évident : “Ici, les places sont chères. Quand on le fait une fois, souvent on revient l’année suivante”, et pour ça, Antoine doit faire des conces­sions. Depuis deux ans, il a posé deux congés sans soldes pour vivre de près la grande boucle. Lorsqu’il était étudiant, il avait même passé ses examens en amont pour être libre tout le mois de juillet : “Heureusement, mon uni­ver­sité avait accepté !” Mais être cara­va­nier, ce n’est pas du repos, bien au contraire : “Souvent, on se lève vers 6h30. Ensuite on prépare les caravanes avec les goodies et avant le grand départ, vers 10h30, tous les cara­va­niers s’é­chauffent avec une cho­ré­gra­phie”. Pour Antoine, lorsque l’on a goûté à ce train de vie là, on ne peut plus s’en passer : “Tant que je pourrai le faire et que mes congés seront acceptés, je conti­nue­rai”. Et il le promet d’hors et déjà, l’année prochaine, il fera bel et bien parti de l’a­ven­ture. Encore une fois. 

    Donald Trump contre Zohran Mamdani : qui tient vraiment les rênes de New York ?

    Au cœur de Manhattan, un vent de fronde souffle...

    Mois sans tabac : ils racontent leur lutte contre l’addiction

    À l’occasion du Mois sans tabac, les campagnes de...

    Vers une Belgique sans tabac ? Le grand bou­le­ver­se­ment des buralistes

    Depuis plusieurs mois, les buralistes belges vivent un bouleversement....

    Contrepoint n°41

    Motivation, pression sociale : comment les influen­ceurs mus­cu­la­tion façonnent la per­cep­tion du corps ?

    Le phénomène musculation explose en France et les influenceurs façonnent nos standards corporels, partageant leur vision du corps et mêlant inspiration, exigence et transmission...

    Supercoupe de volley : Tours domine Tourcoing au bout du suspense

    Une salle Robert-Grenon bouillante, deux cadors du volley français face à face, et une Supercoupe qui a tenu toutes ses promesses. Dans un match...

    FOOT : LE LOSC SE COMPLIQUE LA TÂCHE

    Les lillois ont enchaîné deux défaites en une semaine, sur les pelouses de l'Étoile Rouge de Belgrade en Europa League (1-0) et de Strasbourg...