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    Féru de pièces vintages et sélec­tion­nées sur mesure ? Vous allez aimer la friperie Aopop. C’est d’une main d’artiste que Léa a créé chacun des décors, tableaux, lumi­naires et chinée chacune des pièces qui compose la col­lec­tion de son nouveau magasin.

    Âgée de 26 ans, Léa Mortreux a posé ses valises à Lille depuis quelques années. Diplômée d’un bac pro­fes­sion­nel en pho­to­gra­phie et d’une licence d’arts plas­tiques, elle est pas­sion­née par l’univers artis­tique depuis son plus jeune âge. « J’avais pour objectif de créer une entre­prise qui me ressemble et qui réunisse tous mes univers à savoir la pho­to­gra­phie, l’art, la peinture et la mode », rétorque-​t-​elle. Et c’est dans un univers des années 1970, aux couleurs pop, que chacune des pièces pré­sen­tées sur ses portants font l’objet d’une sélection minu­tieuse et à la pièce : « Je fais la sélection comme-​ci c’était pour moi, je fais mon choix en fonction des matières, du style et puis j’essaie de prendre de toutes les tailles, tout en restant dans mon univers ». Un vestiaire adapté au porte-​monnaie de tous. Chez Aopop, hommes et femmes peuvent se vêtir sans se ruiner. « C’est de l’occasion donc ce n’est pas parfait, mais je fais au mieux pour que la sélection soit bonne », affirme Léa. On y trouve de tout, des basiques à partir de 10 euros, jusqu’à 200 euros pour les marques de luxe Dolce Gabbana ou encore Courrèges.

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