Plus

    Derniers articles

    Le Cabaret Mademoiselle : des show incan­des­cents où les éti­quettes n’ont pas leur place !

    Néons violets, murs tapis de noir et petite scène...

    Le service civique, un tremplin pour la jeunesse

    Lancé il y a 15 ans, le service civique...

    Un épisode de pol­lu­tions aux par­ti­cules fines touche les Hauts-De-France

    Depuis mardi, les Hauts-de-France sont touchés par un pic...

    En réponse à la Saint Valentin, une fête pour les célibataires

    Le 14 février, c’est bien connu, on célèbre les amoureux. Une fois la Saint Valentin passée, il faut attendre un an avant de pouvoir à nouveau fêter l’amour. En Corée du sud cependant, chaque 14 du mois un événement est organisé pour mettre à l’honneur le sentiment amoureux. En réponse ironique à ces célé­bra­tions dont ils sont exclus, les céli­ba­taires se sont dédiés une journée.

    Si les célé­bra­tions amou­reuses en Corée du sud com­mencent dès le 14 janvier, les prin­ci­pales n’en demeurent pas moins le 14 février et le 14 mars. En effet, le 14 février, en Corée du Sud, comme partout dans le monde, on fête la Saint Valentin. Dans de nombreux pays asia­tiques cependant, et notamment en Corée du Sud, seules les femmes offrent des chocolats aux hommes qu’elles appré­cient. Il faut attendre le 14 mars, appelé le « White Day », pour que, si l’amour est réci­proque, le garçon offre en retour un cadeau de couleur blanche à l’élue de son cœur. Il s’agit souvent de roses, de chocolats ou de bonbons.

    Initialement organisée pour soutenir et récon­for­ter ceux qui n’ont pas reçu de cadeaux, la fête des céli­ba­taires avait autrefois une conno­ta­tion triste et sombre, d’où la mise en avant de la couleur noire le 14 avril. Avec le temps, le « Black Day » est néanmoins devenu une célé­bra­tion de l’indépendance répondant iro­ni­que­ment aux fêtes amou­reuses des mois précédents.

    L’élément centrale de la fête : le Jjajangmyeon

    Ce jour-​là, de nombreux céli­ba­taires s’habillent en noir et retrouvent leurs amis pour aller manger du Jjajangmyeon (짜장면), un plat de nouilles d’origine chinoise servi dans une sauce aux haricots noirs avec des morceaux de porc et des légumes.

    Bien que cette fête ne soit pas très connue de ce côté-​ci du globe, quelques Françaises et Français avertis ont néanmoins choisi de l’importer. C’est le cas de Lola, étudiante de 22 ans, qui a connu cette fête en 2023 alors qu’elle faisait des recherches en prévision d’un voyage en Corée du sud. « Avant de partir, je me suis inté­res­sée à la culture, à la langue, à la nour­ri­ture. Je regardais des contenus de cuisine sur Instagram et YouTube. C’est là que j’ai connu le Jjajangmyen, grâce à un short YouTube de quelqu’un qui en cuisinait. »

    Pour elle, c’est surtout l’occasion d’aller au res­tau­rant entre amies et de goûter à la cuisine coréenne. « L’an dernier, j’ai proposé à une amie d’aller manger ensemble ces nouilles parce que je trouvais ça amusant. Pour moi, ce n’est pas tant une célé­bra­tion qu’une curiosité, puisque ce n’est pas ma culture. »

    Au fait, que deviennent vos coquilles de moules de la Braderie ? 

    Qui dit braderie de Lille, dit moules-frites. À la...

    À Lille, des « safe places » contre le har­cè­le­ment pendant la Braderie

    Pour la première fois, Ilévia et la Ville de...

    Braderie de Lille : quand la fête bascule à l’excès

    Chaque année, la Braderie de Lille attire des centaines...

    Contrepoint n°37

    À Lille, des « safe places » contre le har­cè­le­ment pendant la Braderie

    Pour la première fois, Ilévia et la Ville de Lille ont installé des espaces sécurisés dans le métro et en centre-ville, permettant aux victimes...

    Moules, frites et tra­di­tions : les chiffres qui ont fait vibrer la Braderie de Lille 2025

    500 tonnes de moules, 30 tonnes de frites et des visiteurs venus par millions : la Braderie de Lille 2025 a célébré comme jamais...

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver leur place sur un marché du travail saturé. Derrière les beaux discours des écoles, la...