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    La venue de la NBA en France ravit les fans

    Au plus grand plaisir des fans de bas­ket­ball français, la NBA a fait son retour à Paris cette année avec non pas un mais deux matchs pro­gram­més, avec au rendez-​vous notamment les San Antonio Spurs de Victor Wembanyama.

    C’était une belle semaine de bas­ket­ball à Paris. Comme à son habitude, la NBA s’exporte chaque année en Europe pour un match de saison régulière entre deux équipes. Pour la quatrième année de suite, c’est à nouveau la capitale française et l’Accor Hotel Arena de Bercy qui ont été choisis pour accueillir deux ren­contres au lieu d’une. Les San Antonio Spurs et les Indiana Pacers ont donc fait le voyage jusqu’en France pour une double confron­ta­tion jeudi et samedi soir. Double récom­pense pour la France, puisqu’en plus de cela, les Spurs comptent dans leurs rangs la pépite française Victor Wembanyama. Alors qu’il n’en est qu’à sa deuxième saison en NBA, le jeune (21 ans) mais grand joueur (2,22m) est déjà considéré comme l’une des stars de la ligue. Parmi ceux qui en parlent le mieux, la légende LeBron James le décrit comme « un alien qui n’a pas de limite », tandis que l’actuel meilleur joueur du monde, Nikola Jokic, parle de lui comme « de quelqu’un d’unique dont on se sou­vien­dra pour toujours ».

    « Les prix sont tout sauf abordables »

    Pour les fans, c’est une aubaine de voir Victor Wembanyama débarquer pour un match en France. « Wembanyama, on parle tellement de lui en France que ça dépasse même la sphère des fans de la NBA » explique Basile, un fan de bas­ket­ball qui suivait le match dans un bar à Lille. Même si l’évènement fait profiter les fans français, l’accessibilité à celui-​ci reste réduite. Comme un concert d’une star amé­ri­caine, les places partent en quelques secondes sur la billet­te­rie et les prix suivent la demande. Les places allaient de 65€ à visi­bi­lité réduite jusqu’à plus de 7000€ pour un siège au bord du terrain. Pour Wembanyama, c’est « un séjour qui n’a pas de prix », mais pour les fans, ce n’est pas la même approche. « Les prix sont tout sauf abor­dables pour un fan lambda » ajoute Théo, un autre fan qui a regardé le match. « Ce n’est pas normal qu’on puisse quasiment faire un aller-​retour à New York pour voir un match et payer quasiment le même prix que pour ce match-​là. » Pour ce qui est du spectacle en revanche, on n’a pas assisté aux meilleurs matchs de la saison. Deux matchs, deux cor­rec­tions. La première en faveur de San Antonio (140−110) et la deuxième en faveur d’Indiana (136−98), le public aura au moins pu voir Victor Wembanyama régaler par son talent durant les deux confrontations.

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