Plus

    Derniers articles

    Un nouveau souffle sur la BD bruxelloise

    Avec légèreté et bienveillance, les classiques Tintin et Gaston...

    Luxembourg : quand les drogues dures s’in­vitent dans le quartier de la Gare

    En 2017, le Luxembourg était considéré comme le pays...

    Lille : 5 raisons de plonger au cœur de la crypte de la cathédrale

    Fermée depuis 1995 pour des raisons de sécurité, la...

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille fait peau neuve

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille situé 23 rue Gosselet, ferme ses portes le 2 avril prochain et ne va pas les rouvrir avant deux ans.

    Des travaux exceptionnels

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille est un lieu de culture incon­tour­nable et pour la première fois depuis longtemps celui-​ci va fermer ses portes. La fermeture n’est pas défi­ni­tive mais tem­po­raire. Elle est due à des travaux de réno­va­tion et d’agrandissement. Cette pause durera environ deux ans. L’équipe du musée affirme cependant que les retards sont fréquents lorsque des travaux de cette envergure ont lieu. Les deux années prévues ne sont qu’une esti­ma­tion d’avant chantier et risque d’être dépassé. L’objectif est de moder­ni­ser le musée, mais surtout de l’a­gran­dir sans le dénaturer. L’un des guides confie que « le musée a plus de deux cents ans, c’est une bâtisse magni­fique, mais comme tout bâtiment, il avait besoin d’être renouvelé tout en gardant son essence ».

    De nom­breuses améliorations

    Le vieil édifice va se voir doter de nombreux ajouts, parmi eux, on peut citer un accès handicapé qui manquait ainsi que l’a­dap­ta­tion de tous les équi­pe­ments aux normes néces­saires pour les personnes à mobilité réduite. Le fait que les visiteurs soient en majorité des familles a aussi poussé à la création d’un « nichoir » qui est, un espace prévu pour les enfants de zéro a trois ans ainsi que d’un accès poussette. Cependant, l’a­mé­lio­ra­tion majeure que va gagner le musée est un nouvel étage. En effet, il permettra d’exposer toujours plus d’élé­ments, car actuel­le­ment malgré la profusion de taxi­der­mie, de sque­lettes, d’in­sectes et de recons­ti­tu­tions, seul 5 % de la col­lec­tion est affichée. Répartis dans des réserves, les 95 % restants pourront enfin retrouver un chemin vers nos yeux. Le musée déjà très apprécié par son public compte revenir sous un jour encore meilleur et l’équipe est enthou­siaste à l’idée de pouvoir encore mieux effectuer sa mission de partage de la connaissance.

    L’affiche qui prévient les visiteurs de la fermeture prochaine © Alix Bocquet

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver...

    Angoisse, Poil, Mouais… Ces villages aux noms qui font sourire

    La plupart des noms de villes, comme Lille, ne...

    Guerre en Ukraine : Un cessez-​le-​feu partiel accepté par Poutine et Zelensky

    Après des semaines de négociations, l’Ukraine et la Russie...

    Contrepoint n°37

    Angoisse, Poil, Mouais… Ces villages aux noms qui font sourire

    La plupart des noms de villes, comme Lille, ne nous semble pas problématique. Mais dans certains cas, on se demande ce qui s’est passé...

    Au menu, des frites, des frites, des frites !

    Symbole culinaire incontournable, la frite belge ne se limite pas à un simple accompagnement : elle est une véritable fierté nationale. D’après une étude...

    Quatre bières ori­gi­nales et bio que vous pourriez apprécier

    On a testé pour vous quatre bière biologiques belges. Un test qui illustre l’implantation de la bière bio dans les magasins bruxellois. Cantillon Gueuze La gueuze...