Plus

    Derniers articles

    Retraites spi­ri­tuelles : qu’est-​ce qui rend les abbayes si attractives ?

    Révision d’examens, quête spirituelle, vacances « au vert » ou...

    La quête du premier emploi chez les jeunes diplômés, un quotidien rythmé entre espé­rances et inquiétudes

    Si les étudiants pensent souvent avoir surmonté le plus...

    Quatre idées de sorties à Lille

    Un album : la réédition de l’album Cœur parapluie...

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille fait peau neuve

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille situé 23 rue Gosselet, ferme ses portes le 2 avril prochain et ne va pas les rouvrir avant deux ans.

    Des travaux exceptionnels

    Le Musée d’his­toire naturelle de Lille est un lieu de culture incon­tour­nable et pour la première fois depuis longtemps celui-​ci va fermer ses portes. La fermeture n’est pas défi­ni­tive mais tem­po­raire. Elle est due à des travaux de réno­va­tion et d’agrandissement. Cette pause durera environ deux ans. L’équipe du musée affirme cependant que les retards sont fréquents lorsque des travaux de cette envergure ont lieu. Les deux années prévues ne sont qu’une esti­ma­tion d’avant chantier et risque d’être dépassé. L’objectif est de moder­ni­ser le musée, mais surtout de l’a­gran­dir sans le dénaturer. L’un des guides confie que « le musée a plus de deux cents ans, c’est une bâtisse magni­fique, mais comme tout bâtiment, il avait besoin d’être renouvelé tout en gardant son essence ».

    De nom­breuses améliorations

    Le vieil édifice va se voir doter de nombreux ajouts, parmi eux, on peut citer un accès handicapé qui manquait ainsi que l’a­dap­ta­tion de tous les équi­pe­ments aux normes néces­saires pour les personnes à mobilité réduite. Le fait que les visiteurs soient en majorité des familles a aussi poussé à la création d’un « nichoir » qui est, un espace prévu pour les enfants de zéro a trois ans ainsi que d’un accès poussette. Cependant, l’a­mé­lio­ra­tion majeure que va gagner le musée est un nouvel étage. En effet, il permettra d’exposer toujours plus d’élé­ments, car actuel­le­ment malgré la profusion de taxi­der­mie, de sque­lettes, d’in­sectes et de recons­ti­tu­tions, seul 5 % de la col­lec­tion est affichée. Répartis dans des réserves, les 95 % restants pourront enfin retrouver un chemin vers nos yeux. Le musée déjà très apprécié par son public compte revenir sous un jour encore meilleur et l’équipe est enthou­siaste à l’idée de pouvoir encore mieux effectuer sa mission de partage de la connaissance.

    L’affiche qui prévient les visiteurs de la fermeture prochaine © Alix Bocquet

    Celles qui ne veulent pas… Refuser la maternité dans une société qui ne le comprend pas

    Dans un monde où la maternité demeure un passage...

    Fermeture des Lilas : la crise des mater­ni­tés fran­çaises sous les projecteurs

    Vendredi 31 octobre, la maternité des Lilas, en Seine-Saint-Denis,...

    Quand le vol du Louvre fissure le prestige culturel français

    Le 19 octobre, le musée du Louvre, symbole mondial...

    Contrepoint n°42

    Quand le vol du Louvre fissure le prestige culturel français

    Le 19 octobre, le musée du Louvre, symbole mondial du rayonnement culturel français, a été cambriolé. Huit joyaux de la Couronne issus de la galerie...

    Urbex et archi­tec­ture : quand les lieux oubliés reprennent vie

    Vous passez peut-être devant ces bâtiments sans y prêter attention. Abandonnés, envahis par la végétation ou laissés à l’abandon, ils fascinent une communauté d’explorateurs urbains...

    L’espace, entre mémoire céleste des peuples et ambitions modernes : une car­to­gra­phie en tension

    Entre récits fondateurs et ambitions orbitales, le ciel est devenu un territoire disputé. Jadis mémoire vivante des peuples autochtones, il est aujourd’hui fragmenté par...