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    Les Marolles, le temple de la seconde main à Bruxelles

    Le quartier des Marolles est devenu, en quelques années, le repaire des friperies. Dans le quartier, elles ne sont pas moins d’une dizaine. Ces boutiques authen­tiques et vintage sont devenues une des­ti­na­tion incon­tour­nable pour les pas­sion­nés de mode.

    Nichées le long des rues pavées au cœur des Marolles, ancien quartier médiéval, les friperies bruxel­loises sont bien plus que des boutiques de seconde main. Ces magasins sobres et discrets sont l’essence même du quartier dans lequel l’histoire et la modernité se mélangent. « Les Marolles ont toujours été un lieu de rencontre et d’échange et s’il y a autant de friperies c’est grâce au chan­ge­ment de mentalité. Elles font partie de l’ADN et de la culture de Bruxelles, qui est cos­mo­po­lite. La mode est cyclique, les tendances reviennent toujours alors ce n’est pas étonnant cette passion pour les vêtements rétros », détaille Marie, vendeuse chez les Petits Riens.

    La seconde main en pleine ascension

    « Ça fait cinq ou six ans qu’on observe une hausse des ouver­tures de friperies aux Marolles. Les Bruxellois ont voulu y implanter la seconde main et c’est réussi. Ici, je dirais même que c’est devenu une manière de vivre », explique Emma, vendeuse chez Melting Pot Kilo. En quelques années, le quartier a vu son nombre de friperies exploser. Aujourd’hui, de plus en plus de personnes se tournent vers la seconde main par souci éco­lo­gique ou par passion pour le vintage. 

    Les fron­ta­liers sont d’ailleurs nombreux à venir à Bruxelles pour faire le tour des friperies. « On vient spé­cia­le­ment dans le quartier pour faire les fripes. Elles per­mettent de consommer mieux en ayant son propre style. En plus, à Bruxelles on sait qu’il y en a plein », expliquent Claire et Alice, deux clientes fran­çaises. 

    Les friperies sont-​elles encore abordables ?

    Pendant longtemps, les friperies ont permis de faire de bonnes affaires. Depuis quelques années elles subissent l’inflation et donc leurs prix aug­mentent aussi. Certaines boutiques proposent désormais des jeans à 45 € et le kilo de vêtements revient en moyenne à 20 € . Malgré tout, la seconde main a toujours le vent en poupe. À Bruxelles et en Wallonie, on trouve d’ailleurs plus de 300 friperies et boutiques de seconde main.

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