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    PLK, Timal… ces rappeurs fâchés avec la justice en 2022

    Si les rappeurs semblent encore faire les gros titres cette année, il sem­ble­rait que ce ne soit pas que pour leur per­for­mance musicale. Pour cause, la récente condam­na­tion de l’artiste PLK vient s’ajouter à la déjà longue liste de rappeurs qui ont connu des déboires avec la justice. Entre agression sexuelle et violences en tous genres, voici la liste de ces rappeurs fâchés avec la justice cette année 

    PLK 

    Le rappeur PLK en shooting ©Fifou

    C’est l’affaire la plus récente et très cer­tai­ne­ment la plus édifiante de la relation entâchée entre les rappeurs et la justice. L’artiste PLK s’est vu condamner à un an de prison ferme le 27 octobre dernier pour avoir porté un coup de poing sur un policier. Mathias Pruski de son vrai nom raconte une soirée dont il n’a que très peu de souvenirs. 

    Après un concert, sur le parking d’une dis­co­thèque, le rappeur de 25 ans se serait interposé pour venir en aide à une jeune fille mêlée à une bagarre de groupe. L’absence de lumière n’aurait pas permis à PLK de s’a­per­ce­voir qu’une des personnes impli­quées dans ce chaos était un policier. Une histoire qui n’a visi­ble­ment pas su convaincre les magis­trats puisque malgré l’innocente version des faits du rappeur, il sera condamné à 2 mois ferme en théorie, aménagés en détention à domicile. 

    TIMAL 

    Le rappeur Timal en shooting ©Fifou

    L’artiste français Timal avait défrayé la chronique en septembre 2022. 

    Sur son snapchat, le rappeur d’origine guyanaise poste une vidéo de lui en train de donner de multiples coups de pieds à ses chiens. Le geste ne passe bien évi­dem­ment pas, les inter­nautes s’insurgent et le nom du rappeur se hisse en haut des tendances suite aux milliers de messages demandant son inter­pel­la­tion. Mission réussie puisque Ruben Louis de son vrai nom est inter­pellé et placé en garde à vue. 

    Des asso­cia­tions de défense des animaux, notamment 30 millions d’amis, ont porté plainte, les chiens du rappeur lui sont immé­dia­te­ment retirés. Suite à cette polémique, le rappeur s’était vu puni d’une amende de 6 000 euros pour avoir été brutal avec son chien, ainsi qu’une inter­dic­tion de détenir des animaux pour une durée de 5 ans. 

    MOHA LA SQUALE 

    Le rappeur Moha la Squale en shooting ©Fifou

    En juin 2018 Moha la squale explosait sur le devant de la scène. Presque 4 ans après, le rappeur de 27 ans fait parler de lui pour des raisons bien plus sombres. D’abord mis en examen pour des chefs de violences par conjoint, agression sexuelle par conjoint, et menaces de mort par conjoint. Au mois de septembre 2020 Il fait l’objet d’au moins six plaintes. 

    Pourtant c’est en juillet 2022 que Mohamed Bellahmed va de nouveau s’attirer les foudres de la justice. Le Parisien rap­por­tait plutôt cet été l’interpellation du rappeur dès son arrivée à Paris en pro­ve­nance d’Allemagne, en exécution d’un mandat d’arrêt pour violation de son contrôle judi­ciaire. Suite à cette arres­ta­tion, le rappeur à immé­dia­te­ment été placé en détention provisoire. 

    Le jeune homme qui avait déclaré plus tôt cette année : « Je n’ai jamais au grand JAMAIS levé la main sur une femme. Ce complot a été perpétué pour me nuire » devra rendre compte à la justice en décembre prochain. 

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