Plus

    Derniers articles

    Mondial au Qatar : quand le temps addi­tion­nel joue les prolongations

    Dans un mondial au Qatar qui ne fait rien...

    Les Français aiment-​ils lire ?

    Le verdict est tombé. Le Centre National du Livre...

    Colère et recueille­ment lors de la Journée du souvenir trans à Lille

    Lundi 20 novembre, à l’appel de plusieurs associations, une...

    Pratique, rapide, un peu cher : j’ai testé pour vous les nouveaux vélos élec­triques lillois !

    Depuis le 7 février les Lillois peuvent louer des vélos élec­triques, mis à dis­po­si­tion par les opé­ra­teurs privés Tier mobility et Lime dans la voie publique.

    Comment ça marche ?

    Pour louer un vélo élec­trique à Lille, rien de plus simple ! Il suffit de télé­char­ger les appli­ca­tions Lime ou Tier, sur les­quelles sont réper­to­riées les stations en libre-​service, et leur dis­po­ni­bi­lité. Vélo choisi, appli­ca­tion en main, il n’y a plus qu’à scanner le QR code collé sur le guidon et à sélec­tion­ner « commencer le trajet ». Côté tarifs, comptez en moyenne 1 € pour le déblocage du vélo, puis 0,20 € par minute. Des pass sont aussi proposés pour une uti­li­sa­tion régulière.

    Des avantages multiples

    L’expérience est agréable, les vélos sont confor­tables et la selle est pensée pour évacuer l’eau, pratique quand on connaît la météo lilloise. À une allure de 25 km/​h sur mon bolide élec­trique, j’ai mis 6 minutes pour aller de l’Université catho­lique de Lille à la station de bus Churchill, contre 10 à 12 minutes avec un vélo lambda. Mais attention si vous ren­con­trez une Slow zone la vitesse sera auto­ma­ti­que­ment bloquée à 6 km/​h. Pire, dans les espaces No zone* (la Grand Place par exemple), le vélo s’ar­rê­tera carrément. Côté pratique, un support fixé au guidon permet de suivre un iti­né­raire précis, tout en chargeant son téléphone, malin !

    Quelques mauvaises surprises

    Ce moyen de transport apparaît plus judicieux dans une pratique occa­sion­nelle que quo­ti­dienne. Pour cause, une fois arrivée à des­ti­na­tion, à deux reprises, je n’arrive pas à clôturer le trajet et j’ai donc payé des minutes sup­plé­men­taires, avant que l’application ne fonc­tionne à nouveau. Le nombre de vélos autorisés par station étant très limité, il peut aussi arriver qu’il faille faire un plus long trajet que prévu et donc payer plus, pour trouver une station avec des places disponibles.

    * zone où la cir­cu­la­tion se fait pied à terre.

    Infos pratiques Tier mobility et Lime : les empla­ce­ments en libre-​service sont dis­po­nibles près des stations de métro, des arrêts de bus et des gares.

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime abondamment. Ces fresques murales monumentales disséminées dans les quartiers sont porteuses de créativité et de...

    À Anderlecht, une agri­cul­ture qui prospère sur les toits

    Au milieu du tumulte urbain de Bruxelles, une ferme pas comme les autres a émergé sur un toit. Il y pousse des tomates et...

    La fin de l’âge d’or de la bière arti­sa­nale à Bruxelles ?

    Aussi appelée bière artisanale, la craft Beer accompagne les soirées des Bruxellois depuis plus de dix ans. Dans ce pays où la bière est...