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    Quand la liberté ne tient qu’à un fil

    Le samedi 8 mars marque la journée inter­na­tio­nale des droits de la femme. Pourtant, en Afghanistan, ces mêmes droits sont injus­te­ment arrachés par les talibans. Pour honorer la lutte des femmes afghanes, l’association cultu­relle franco-​Afghane, en par­te­na­riat avec la ville de Lille, propose à ses habitants une expo­si­tion à la Maison Folie Moulins où la liberté est sur le fil.

    tableau du cliché de la célèbre femme afghane aux yeux verts par Steve McCurry © Adrien Ratel

    Un projet artis­tique pour libérer la parole

    Du 1er au 16 mars, les Lillois auront la pos­si­bi­lité de découvrir le savoir-​faire de plus de 1 500 mosaïstes des quatre coins du monde. À l’initiative de la mosaïste Madeline Turgeon et de son ami Bady Essid Jaballah, cette œuvre col­lec­tive repré­sente une contes­ta­tion contre l’oppression talibane qui ne cesse d’entraver les libertés des femmes : l’interdiction d’occuper des postes impor­tants, de s’exprimer hors de leur logement ou la sus­pen­sion de la radio féminine Bégum. En 2025, le quotidien de ces femmes est un combat de tous les jours pour se faire entendre de vive voix. Mais si la voix ne peut se faire entendre, leur expres­sion artis­tique prend le relais. Ces femmes cou­ra­geuses vont s’exprimer malgré les menaces. Une ambition qu’admire Sylvie Piroddi, une visiteuse de l’exposition : « l’art permet à ces femmes de s’exprimer, elles ne doivent rien lâcher ».

    Robe tra­di­tion­nelle afghane © Adrien Ratel

    Un fil d’ariane pour toutes les femmes

    Cette expo­si­tion est ouverte à tous, peu importe les origines. Marie Piroddi ne peut cacher son engoue­ment devant ces robes et ces mosaïques symboles d’une lutte sans relâche : « nous avons beaucoup de chose à faire pour défendre l’image que mérite la femme ». Cette expo­si­tion s’apprécie dans le calme et la contem­pla­tion. Alors que les deux femmes par­courent les murs de l’exposition, plus qu’une simple décou­verte du savoir-​faire afghan, c’est un rappel qu’il faut défendre l’image de la femme au pays des talibans.

    Gravure de l’ex­po­si­tion « tenir à un fil » © Adrien Ratel

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