Plus

    Derniers articles

    Les boulets de Lille : quand l’histoire laisse des traces sur ses bâtiments

    L’histoire est omniprésente au sein du centre-ville lillois, du...

    Les livres audio font du bruit

    Ils sont de plus en plus nombreux désormais à...

    Clément Corselle, déjà chef d’entreprise à 19 ans !

    À seulement 16 ans, Clément Corselle s’est lancé dans...

    Virginie Despentes éveille Lille avec “Woke”

    Pendant une semaine, le Théâtre du Nord accueillait une pièce de théâtre innovante, engagée, coécrite par Virginie Despentes, l’auteure de « Baise-​moi ». Une fusion de couleurs, de luttes, de craintes et d’amour.

    Lors de la générale, Virginie Despentes est humble. Elle présente rapi­de­ment le spectacle, ses co‑écrivains, Paul B Preciado, Anne Pauly et Julien Delmaire, sans oublier de préciser « Soyez gentils avec les comédiens, c’est une générale, ils ont droit de merder et c’est leur première représentation devant un public ». Le rideau est déjà levé, mais les lumières s’éteignent. Sur scène, quatre écrivains, à l’image de Virginie Despentes et ses col­la­bo­ra­teurs. Un théâtre public finance leur projet de co‑écriture d’une pièce de théâtre queer et féministe. Bémol, aucun n’a déjà écrit pour le théâtre. En proie à leurs peurs, leurs per­son­nages se mani­festent les uns après les autres, tantôt pour rassurer, tantôt pour les secouer. Le tout avec humour, tendresse, amour et révolte. Mégaphone, boule disco, oracle ou encore sabre laser côtoient les comédiens sur scène.

    « Woke »

    2 heures 20 de folie, pour finir avec un immense »« WOKE » sur scène. Ce mot vient de l’anglais « éveil ». Il apparaît à la fin du XIXe siècle, dans les communautés noires américaine. Le terme « woke » est aujourd’­hui utilisé à tort et à travers. Détourné par la droite et l’extrême-​droite, il sert d’é­pou­van­tail pour dis­cré­di­ter les luttes fémi­nistes, anti­ra­cistes et LGBTQIA+, ainsi que l’en­semble des reven­di­ca­tions pro­gres­sistes. « Wokiste » est aujourd’hui une insulte presque. Alors pour cette pièce, le but était de provoquer. D’être queer, de le reven­di­quer, de lutter via l’amour. Un cast queer de grande qualité. On a retrouvé la drag queen Soa de Muse, finaliste de Drag Race saison 1, l’acteur Félix Maritaud du film 120 bat­te­ments par minute, et l’excellente Sasha Andres, qui porte les traits punks et rocks de Virginie Despentes.

    De l’école à l’emploi, la rude réalité des jeunes diplômés

    En sortie d’école, les jeunes diplômés peinent à trouver...

    Angoisse, Poil, Mouais… Ces villages aux noms qui font sourire

    La plupart des noms de villes, comme Lille, ne...

    Guerre en Ukraine : Un cessez-​le-​feu partiel accepté par Poutine et Zelensky

    Après des semaines de négociations, l’Ukraine et la Russie...

    Contrepoint n°37

    Angoisse, Poil, Mouais… Ces villages aux noms qui font sourire

    La plupart des noms de villes, comme Lille, ne nous semble pas problématique. Mais dans certains cas, on se demande ce qui s’est passé...

    Au menu, des frites, des frites, des frites !

    Symbole culinaire incontournable, la frite belge ne se limite pas à un simple accompagnement : elle est une véritable fierté nationale. D’après une étude...

    Quatre bières ori­gi­nales et bio que vous pourriez apprécier

    On a testé pour vous quatre bière biologiques belges. Un test qui illustre l’implantation de la bière bio dans les magasins bruxellois. Cantillon Gueuze La gueuze...