Plus

    Derniers articles

    L’Inde fait valoir ses intérêts en Afrique face à la Chine

    Symboliquement organisé dans l'Océan Indien, l'Inde et dix pays...

    Recrutement : le secteur de la res­tau­ra­tion n’est toujours pas dans son assiette

    Durant la période Covid, le secteur de la restauration...

    Inondations : comment le Pas-​de-​Calais traverse la crise

    L’automne 2023 restera gravé dans les mémoires des Hauts-de-France....

    Bruxelles : la gestion de la menace ter­ro­riste, le grand défi

    « Le mal est fait »… Johan Berckmans, com­mis­saire divi­sion­naire de la zone de police de Bruxelles-​Ouest, ne se remettra jamais des attentats de 2015. Mais depuis l’arrestation de Salah Abdeslam à Molenbeek, la Belgique a retenu la leçon.

    Les chiffres le montrent : le ter­ro­risme est toujours bien présent dans la capitale belge. En 2023, 650 extré­mistes et ter­ro­ristes ont fait l’objet d’un suivi prio­ri­taire. Ajoutés à cela, 332 signa­le­ments de menace poten­tiel­le­ment en lien avec le ter­ro­risme ou l’extrémisme ont été recensés. Ce chiffre cor­res­pond à une aug­men­ta­tion de 41 % en com­pa­rai­son avec l’année pré­cé­dente. L’Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace (OCAM), traite l’ensemble de ces infor­ma­tions pour évaluer les risques en ce qui concerne la sécurité du pays. Définie comme un « centre de fusion », elle se base sur les ren­sei­gne­ments récoltés par ses services par­te­naires. Leur banque de données commune permet d’échanger des infor­ma­tions non clas­si­fiées concer­nant les personnes devant faire l’objet d’un suivi spé­ci­fique. L’OCAM détermine ensuite le niveau de menace, de manière neutre et indé­pen­dante, selon la gravité et la vrai­sem­blance des faits.

    Ce qu’il s’est passé est réel

    À l’heure actuelle, quatre niveaux de menace existent en Belgique. « Le diminuer est toujours plus délicat que de le monter », explique Gert Vercauteren, directeur de l’OCAM. « Lorsqu’on augmente de niveau, la menace est visible. Mais quand on le descend, on doit justifier la raison pour laquelle on choisit de réduire la vigilance », ajoute-​t-​il. En ce qui concerne Molenbeek, un plan de lutte contre le ter­ro­risme et les activités associées a été mis en place. Le com­mis­saire divi­sion­naire de la police de Bruxelles-​Ouest se confie : « Ce qui s’est passé est réel. Depuis, nous avons car­to­gra­phié les zones fortement associées à l’État islamique et au radi­ca­lisme violent et nous mettons tout en œuvre pour les sur­veiller ».

    Le calen­drier de l’Avent ou quand l’attente devient business

    -24, -23, -22… la course est lancée. À qui...

    Deuil animal : quand la société ne reconnaît pas la douleur

    Ils partagent nos joies, nos peines, nos sourires et...

    Lille : quand notre santé mentale impacte nos achats

    À l’approche de l’hiver, la baisse de moral pousse...

    Contrepoint n°40

    Le calen­drier de l’Avent ou quand l’attente devient business

    -24, -23, -22… la course est lancée. À qui aura le meilleur, le plus cher, le plus « instagrammable » des calendriers de l’Avent...

    Deuil animal : quand la société ne reconnaît pas la douleur

    Ils partagent nos joies, nos peines, nos sourires et nos souvenirs. Nos animaux sont nos confidents, amis, soutiens et familles. Quand ils disparaissent, des...

    Twitch : nouvel Eldorado virtuel pour se rassembler

    Le ZEvent et le GP Explorer ont eu lieu respectivement les weekends du 4 septembre et du 3 octobre et ont chacun battu des...