Plus
  • Sport

Derniers articles

COP29 : Quels enjeux pour le sommet mondial du climat à Bakou ?

Ce lundi 11 novembre s'est ouverte la 29e édition...

D’ici à l’automne 2025, TotalEnergies va déployer 800 bornes élec­triques au sein de la MEL

Le service Iléwatt, géré par TotalEnergies, va se répandre...

À peine sorti de prison, il utilise son enfant pour menacer sa compagne

Si la question du féminicide est sous le feu...

Qui est Laura Müller, la première femme ingé­nieure de course en Formule 1 ?

C’est officiel, Laura Müller devient la première femme ingé­nieure de course en Formule 1. Elle sera avec le pilote Français de chez Haas Esteban Ocon. Retour sur son parcours et son arrivée dans la catégorie reine du sport mécanique. 

Diplômée en ingé­nie­rie auto­mo­bile, c’est en 2014 que l’Allemande Laura Müller commence à se faire connaître dans le milieu de la course. C’est après un stage chez Phoenix Racing GmbH en Allemagne dans la catégorie Supertourisme qu’en 2016 elle se tourne vers l’écurie Josef Kaufmann Racing pour le cham­pion­nat d’Eurocup Formula Renault 2.0. Deux ans plus tard, direction le Brésil pour la jeune femme où elle décou­vrira le Stockcar avec l’écurie Hero Motorsport. A partir de là, les com­pé­ti­tions s’enchaînent très rapi­de­ment pour Laura Müller. Elle tra­vaillera en courses d’endurance inter­na­tio­nales pour se forger et s’améliorer dans son métier. En 2022, à 33 ans elle parvient à rejoindre le cham­pion­nat de Formule 1 avec l’écurie Américaine Haas, ini­tia­le­ment au sein du dépar­te­ment simu­la­teur, avant de devenir ingé­nieure de performance.

Un bon en avant pour Haas et un grand pas pour la F1

C’est un des chan­ge­ments les plus impor­tants depuis l’arrivée d’Ayao Komatsu à la tête de l’écurie en 2024. L’arrivée de Laura Müller en tant qu’in­gé­nieure de course d’Esteban Ocon fait d’elle la première femme à être placée aussi haut dans ce milieu. Elle aura par ailleurs un rôle important et complexe. En effet le métier d’ingénieur de course agit en tant que stratège pour permettre à la voiture d’avoir des per­for­mances maximales tout le long du week-​end. Elle sera aussi thé­ra­peute car elle sera la voix que le Français entendra durant la course. Cela nécessite d’avoir une connexion essen­tielle entre son pilote et l’équipe. Dans un milieu majo­ri­tai­re­ment masculin où le rôle d’in­gé­nieur est très fermé, Komatsu évoque le fait qu’elle a gagné sa place grâce à son travail et à son talent, non pas pour son genre.

Neuf infos à connaître sur l’Atomium. Le plus belge des monuments

Connaissez-vous l'Atomium ? Sûrement. En connaissez-vous les secrets et...

Mode d’emploi des ins­ti­tu­tions euro­péennes : qui fait quoi ?

Dans le quartier européen de Bruxelles, trois institutions majeures...

Bruxelles, carrefour d’accueil migratoire 

Avec une politique migratoire de plus en plus rigide,...

Contrepoint n°36

Le Nord en rouge (et noir)

Le week-end dernier, la région du Nord a vibré au rythme de deux derbies. Vendredi soir, Valenciennes accueillait Boulogne-sur-Mer pour lancer les hostilités, tandis...

Plongez dans le monde de la Formule 1 : le guide ultime pour les novices

La Formule 1 est la catégorie reine du sport mécanique, un univers où la vitesse, la technologie de pointe et la stratégie se mélangent...

Le goalball : au service de l’inclusion

Parmi les disciplines paralympiques, le goalball se distingue par son intensité, sa technicité et son accessibilité. Né après la Seconde Guerre mondiale pour rééduquer...