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    Black Friday : la fièvre des bonnes affaires ce vendredi 29 novembre 

    Le Black Friday, c’est la guerre des promos. Magasins bondés, paniers remplis et cartes bancaires à l’agonie. Mais ce phénomène venu des États-​Unis est-​il véri­ta­ble­ment devenu un incon­tour­nable en France ? Entre origines, stra­té­gies com­mer­ciales et ten­ta­tions, découvrez pourquoi ce vendredi est noir pour notre porte-​monnaie… mais rouge de bonnes affaires ! 

    Le célèbre vendredi des pro­mo­tions arrive à grand pas et c’est le moment parfait pour réaliser de véri­tables bonnes affaires avant les fêtes. Des réduc­tions sur l’électroménager, l’high-tech et la mode, il y en a pour tous les goûts. Une grande majorité des commerces n’a cependant pas attendu le lancement officiel pour proposer leurs meilleures offres. Chaque année, plusieurs sites proposent leurs meilleures pro­mo­tions avant la date offi­cielle du Black Friday, et ce, afin de répartir davantage les baisses de prix et permettre aux consom­ma­teurs de s’y retrouver. 

    Le Black Friday en France : une tradition qui s’installe  

    Venant tout droit des États-​Unis, cette journée de folie com­mer­ciale a lieu le lendemain de Thanksgiving. Traditionnellement, les Américains profitent de ce long week-​end pour se lancer dans les premiers achats de Noël. Mais alors pourquoi pas nous ? Le Black Friday a traversé l’Atlantique pour s’installer en France dans les années 2010. Toutefois, la méfiance des débuts laisse fina­le­ment sa place à un véritable enthou­siasme. Les Français, toujours à l’affût de la moindre excuse pour faire du shopping et « faire des économies », ont rapi­de­ment adopté ce phénomène. En 2014, les premières éditions du Black Friday en France ont fait leur appa­ri­tion, prin­ci­pa­le­ment en ligne, avec des géants comme Amazon qui ont largement contribué à popu­la­ri­ser l’événement. Les magasins physiques, eux, n’ont pas tardé à enchaîner les pro­mo­tions et à envahir les rayons de leurs boutiques de pancartes rouges et jaunes à la promesse de rabais inté­res­sants. 

    Le bon plan des com­mer­çants ou le cauchemar des cartes bancaires 

    « Des offres jusqu’à moins ‑40% sur tout l’électroménager » pour Boulanger, « des livres à l’iPhone 15 en passant par les jeux, le mobilier et l’high tech jusqu’à ‑50% » à la Fnac et le programme « vente WOW » de ‑10% à plus de ‑50% chez Amazon. Les bonnes affaires pro­mettent d’être au rendez-​vous, ce vendredi 29 novembre. En effet, parmi les marques par­ti­ci­pantes au Black Friday, on retrouve Amazon, la Fnac, Darty, Cdiscount et Boulanger ou encore Apple et Samsung avec bien évi­dem­ment Adidas, H&M, Lacoste et Nike.  

    Mathys, lillois habitué du Black Friday, partage tous ses bons plans sur les réseaux sociaux. C’est « le moment idéal pour se faire plaisir » explique le créateur de contenu. « Noël arrive, c’est une occasion à ne pas rater pour ne pas trop dépenser, même si les soldes d’hiver existent, elles arrivent après les fêtes, une fois que le porte-​monnaie est vide ». Le seul défaut de Mathys : son problème d’achat compulsif. Il admet avec humour ne pas vouloir, cette année, « repartir avec n’importe quoi ». 

    Quand promotion rime avec « attention ! »  

    Il est vrai qu’en France, l’engouement est tel que l’événement rivalise désormais avec nos tra­di­tion­nelles soldes d’hiver. En 2023, près de 6 milliards d’euros ont été dépensés pendant cette période, un chiffre en hausse constante qui n’est pas prêt de diminuer. Entre l’euphorie des bonnes affaires et la tentation de remplir son panier virtuel à ras-​bord, il n’est pas rare de faire des achats impulsifs. L’astuce est de ne pas se pré­ci­pi­ter sur la première offre qui passe. Les remises sont parfois impres­sion­nantes sur le papier, ‑50 % ou plus. Mais c’est parfois une tactique de vente de certains marchands qui n’hé­sitent pas à exagérer les prix barrés pour augmenter les ventes. Mieux vaut donc s’armer de patience et comparer les offres avant d’acheter les yeux fermés. 

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