Plus

    Derniers articles

    Seine-​et-​Marne : les télé­phones deviennent interdits dans les lieux publics

    Ce week-end, samedi 3 février, la commune de Seine-Port...

    Le concert de Kanye West à Paris au cœur d’une polémique

    Le rappeur américain Kanye West proposait à l’Accor Arena...

    « Silence, ça tourne ! » quel rôle joue le cinéma dans les Hauts-de-France ?

    Le cinéma est depuis longtemps une forme d'art appréciée...

    Faim de série pour le Lille Métropole Tennis de Table (Pro B)

    Malgré une première partie de saison convain­cante, les joueurs du Lille Métropole Tennis de Table n’ont pu décrocher leur maintien immédiat au terme de la première phase. Ils devront passer par les Play-​Down, un mini tournoi à quatre. Avec un objectif simple : maintenir le LMTT dans l’antichambre du tennis de table national.

    Les joueurs du LMTT ont frôlé le coup parfait à l’issue de la première phase du cham­pion­nat de France de Pro B, mais n’ont fina­le­ment pas réussi à attacher le bon wagon. Pour Vincent Rasselet, le coach de l’équipe première, le maintien est un objectif à ne pas perdre de vue : « Malheureusement, nous ne sommes pas dans la partie de tableau que l’on espérait. Mais rien n’est perdu. Si on continue les efforts, nous arri­ve­rons à notre objectif, avec un peu de retard certes. »

    « Avec 20 points, on pensait que ça suffirait pour accrocher le Top 8. »

    Les pongistes appré­hendent avec humilité mais également déter­mi­na­tion la seconde phase, dans l’optique de renouer avec la victoire après trois défaites qui ont laissé des regrets : « Il y a de la frus­tra­tion de ne pas être dans le paquet du haut. On aurait joué des joueurs de meilleurs niveaux. Mais il n’y a pas de regret. Il aurait fallu que tout s’aligne. Des fois ça a tourné pour nous et pas d’autres. C’est comme ça, c’est le sport. »

    Aux points : Avantage pour Lille

    Cette saison, le LMTT s’est déjà frotté à ses trois adver­saires à venir (Istres, Saint-​Pierraise et Argentan). Et le bilan est positif et encou­ra­geant dans les confron­ta­tions directes. Face à Istres, lors de la première journée, les hommes de Vincent Rasselet l’avaient faci­le­ment emporté dans le sud (0−3). Même cas de figure, à l’occasion de la 5ème journée et un dépla­ce­ment réussi à Saint-​Pierraise (1−3). Avant le sans-​faute face à un autre mal classé à Argentan (0−3).

    Avec quatre petites victoires cette saison, Lille a surtout profité des largesses de ses adver­saires directs pour glaner des points impor­tants. Un ascendant psy­cho­lo­gique qui ne veut pas dire que les matchs seront faciles pour le coach, « tout repart à zéro. Le piège serait de se dire qu’on est sortie d’affaire trop vite. Il faudra bien démarrer et prendre de l’avance. »

    Pas de pression, mais une obli­ga­tion de résultat assez vite, pour ça, le LMTT pourra compter sur le calen­drier, « l’avantage, c’est que nous allons jouer Istres d’abord, qui a fini dernier. Si on est appliqué, on peut prendre le meilleur. » Et sur des joueurs mieux classés que les trois autres formations.

    Une équipe de tennis de table est constitué de 4 à 5 joueurs. © Aureo HD

    Pérenniser le club en Pro B : « les ambitions du club m’ont appelé en 2018 »

    Toujours en quête de son premier passage en Pro A, Lille tentera de se sta­bi­li­ser dans l’antichambre du tennis de table national, avant d’espérer jouer les premiers rôles à l’avenir. Sous l’égide de Vincent Rasselet, en adé­qua­tion totale avec le projet, le club mise avant tout sur la formation pour y parvenir. De ses début en National 2 jusqu’à sa deuxième saison en Pro B, le coach estime pro­gres­ser chaque année autant que le club. S’il juge important à long terme de rester en Pro B, c’est avant tout pour « offrir aux jeunes du jeu avec des beaux matchs et du spectacle. » Une émulation pri­mor­diale pour le déve­lop­pe­ment des jeunes du club.

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    À Bruxelles, foot et basket ne jouent pas dans la même catégorie

    Le Brussels Basket se bat pour sortir de l’ombre du football. Malgré des années d’efforts et des tentatives créatives pour attirer l’attention médiatique, le...

    Bruxelles : trois clubs et autant de pos­si­bi­li­tés de célébrer le foot

    Bruxelles entretient une longue histoire d’amour avec le ballon rond. Certains voient la ville comme la nouvelle capitale européenne de la discipline. Cette saison, trois...

    Jeux Olympiques : le break­dance à peine intégré s’in­quiète de son avenir

    Ce sera le bouquet final de nos Jeux à Paris, le 10 août, sur la Place de la Concorde. C'est sous l'obélisque que se...