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    Trois anecdotes sur l’Atomium, symbole de Bruxelles

    Construit en 1958 pour l’exposition uni­ver­selle à Bruxelles, l’Atomium est depuis un symbole majeur de la ville. Pensée par l’ingénieur André Waterkeyn, la structure futuriste n’a pas fini de livrer ses secrets…

    Un seul accident lors de la construction

    Lancé dès 1956 pour une durée de deux ans, le chantier de l’Atomium a repré­senté un défi technique. C’était le premier monument de son style conçu comme une structure à assembler sur place. Malgré une construc­tion complexe un seul un ouvrier s’est blessé sur le chantier. « Je trouve toujours cela fascinant car déjà c’est une prouesse technique qui a été réalisée rapi­de­ment. A l’époque ce n’étaient pas les mêmes normes de sécurité et c’était vraiment audacieux sur le plan archi­tec­tu­ral. Et pourtant le seul accident qu’on réper­to­rie est une foulure à la cheville », détaille Julie Almau Gonzalez, direc­trice de l’Atomium. 

    Le monument le plus bizarre d’Europe selon les Américains 

    L’Atomium a été élu le monument le plus bizarre d’Europe par le clas­se­ment de la chaîne amé­ri­caine CNN. « Il est considéré comme bizarre tant pour son aspect intérieur qu’extérieur. C’est une construc­tion étrange et insolite aux yeux du monde entier. » L’architecture de l’Atomium n’a pas fini de sur­prendre. Sa structure a exac­te­ment la même forme qu’un cristal de fer. Elle est composée de neuf sphères dont cinq acces­sibles au grand public et une réservée à l’accueil d’événements. 

    Une structure qui bouge avec le vent 

    Lorsqu’on rejoint le sommet de l’Atomium les jours de grand vent mieux vaut ne pas avoir le mal de mer. Avec le souffle du vent le monument se déplace légè­re­ment. « Ces jours-​là, l’Atomium peut se déplacer de cinquante cen­ti­mètres et c’est tout à fait normal. L’architecture a été pensée pour être souple sinon elle casserait, mais néanmoins le dépla­ce­ment peut être sur­pre­nant ».

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