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    « Le bonheur est pour demain » ou le retour de l’amour impossible

    Dans cette fiction inspirée de faits réels, “le bonheur est pour demain” de Brigitte Sy interroge la force des sen­ti­ments, confron­tés aux aléas de l’existence humaine, pour dresser le portrait au féminin de ce combat permanent.

    1994, le Nord, les années Mitterrand, Sophie (Léätitia Casta), vendeuse dans un vidéo club, rencontre un soir Claude (Damien Bonnard). Elle ne sait rien de lui, il ne sait rien d’elle. Braqueur, il va être condamné à une lourde peine. Quelles qu’en soient les consé­quences, Sophie n’est pas prête à renoncer à cet amour naissant.

    De l’image à l’écran

    Inspiré d’une histoire vraie, tourné en seulement trente jours, ce film sort la semaine prochaine au cinéma. Brigitte Sy réalise un méti­cu­leux travail de com­po­si­tion des plans qui attise le regard. “Avec Frédéric Serbe (co-​auteur et chef op) on sou­hai­tait une image très stylisée, très forte. L’idée était de construire un retour au réel et donc de jouer sur la colo­ri­mé­trie. Les couleurs se dur­cissent car elle-​même (Sophie) se durcit.” Des couleurs acidulées des néons d’un bar au mur gris à l’odeur de tabac froid, la réa­li­sa­trice sou­hai­tait tourner dans le Nord. “Je trouvais qu’il était important de garder la tem­po­ra­lité de l’histoire. Il n’y a pas beaucoup d’en­droits en France où l’on peut être hors du temps et recréer quasiment une époque.

    Laetitia Casta méconnaissable

    Laetitia Casta révèle à l’écran la justesse de son jeu dans une forme d’opacité mys­té­rieuse. Un choix que nous explique la réa­li­sa­trice : “Je n’avais pas envie d’avoir une actrice attendue sur ce rôle-​là, et qui aurait porté quelque chose de très natu­ra­liste.” Malgré un scénario avare en mots et quelques fautes de casting, Brigitte Sy signe un hommage aux femmes, mais surtout à la leur force et leur courage. “Ce film est une ode aux femmes, et surtout à celles qui se battent seules.”

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