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    Clap de fin !

    Il est déjà temps de se quitter. Pour le dernier numéro de Contrepoint de notre promotion, nous nous sommes trans­por­tés au cœur du quartier européen de Bruxelles. Une paren­thèse de deux jours qui a sonné comme un au revoir. Ces deux années ont passé en un éclair. Et pourtant ! Aujourd’hui, nous sommes des étudiants soudés alors qu’à la rentrée, chacun ignorait tout de l’autre. En deux ans tout a changé, nous avons changé et je suis si triste de les quitter. Plus que des amis, ils sont devenus une deuxième famille. Un sentiment de nostalgie se mêle à l’excitation de découvrir ce que le futur nous réserve. Mais je suis certaine d’une chose, je serai marquée à vie par tous ces moments passés à leurs côtés. Comme disait Jean Weber, « ce n’est qu’un au revoir mes frères (mes sœurs) ».

    Une révo­lu­tion féministe 

    « Je ne suis pas libre tant que n’importe quelle autre femme est privée de sa liberté, même si ses chaînes sont très dif­fé­rentes des miennes », affirmait Audre Lorde, figure féministe afro-​américaine et poétesse engagée. Ces mots résonnent avec force en cette semaine du 8 mars. Car l’émancipation ne peut être indi­vi­duelle, elle est col­lec­tive. Tant que des femmes subissent les violences d’un conjoint, d’un père, d’un collègue, d’un inconnu dans la rue. Tant que les inéga­li­tés sala­riales les main­tiennent dans la précarité. Tant que la justice peine à protéger les victimes. À ce jour, aucune d’entre nous ne peut prétendre à une liberté des femmes pleine et entière. Le 8 mars, c’est un appel à l’action, pas une célébration ! 

    Le football de chez nous 

    Le football français et plus par­ti­cu­liè­re­ment nordiste est à l’honneur en ce début d’année. Actuelle quatrième de Ligue 2, l’USL Dunkerque vient de réaliser une grosse per­for­mance en huitièmes de final de Coupe de France en sortant le LOSC. Alors qu’il a longtemps passé ses dernières années dans les division amateurs, le club a entamé une longue remontée jusqu’à la Ligue 2 en 2023. Après une première saison com­pli­quée (16e), les Dunkerquois ont repris leur ascension vers le plus haut niveau du football français. Les Lillois peuvent être bons perdants. Ce n’est pas une défaite aux tirs aux buts qui viendra entacher une saison déjà bien complète avec un top 8 en Ligue des champions. Il fait bon d’être fan de football dans les Hauts-de-France. 

    Le combat continue…

    « Un triste anni­ver­saire », tel était le message des militants Pro-​vie qui ont défilé der­niè­re­ment dans les rues de Paris contre l’IVG. Ce droit durement acquis il y a 50 ans et qui est désormais consti­tu­tion­nel, est mal­heu­reu­se­ment encore remis en question. D’ailleurs, l’émission En quête d’esprit sur Cnews sous entendait en 2024 que l’IVG était : « la première cause de mortalité en France ». N’a‑t-il pas été au contraire mis en place afin d’éviter aux femmes des com­pli­ca­tions dues aux avor­te­ments illégaux ? Ne faudrait-​il pas mieux saluer cette pratique qui a permis de sauver la vie de nom­breuses femmes ? Simone Veil le disait bien : « aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement ». Il y a encore de nombreux pays où les femmes sont obligées d’avoir recours à des « faiseuses d’anges ». Alors ne leur jetons pas la pierre, elles qui désirent seulement faire valoir leur droit. Ne les jugeons pas non plus. C’est leur corps, c’est leur choix.

    Un regard vers l’avenir 

    Hier, se tenait la journée inter­na­tio­nale de l’enfance. Dans un monde où le sif­fle­ment des bombes remplace parfois les chansons d’anniversaire, où respirer devient un luxe et où certains se noient pendant que d’autres meurent de soif, les enfants repré­sentent toujours l’espoir. Un espoir fragile, que l’on se doit de protéger. Au début de l’année, l’UNICEF a lancé un appel aux dons pour venir en aide à 94 millions d’enfants partout dans le monde. Ici, nos dif­fé­rends importent peu. L’humanité qui vit en chacun de nous, doit nous ras­sem­bler et nous dicter la marche à suivre. Alors ne fermons pas les yeux, plaçons ces enfants dans la lumière, soyons leur bouée de sauvetage, afin que leurs sourires ne s’éteignent jamais.

    Vers un envol de taxes ?

    Seriez-​vous prêt à dépenser plus pour voyager en avion ? Le ministre des Transports a eu une soudaine prise de conscience éco­lo­gique. Le gou­ver­ne­ment souhaite augmenter les taxes sur les billets d’avion, au nom de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre. Une bonne nouvelle au premier abord. Et pourtant. La France ne limite pas dras­ti­que­ment le réseau aérien sur son ter­ri­toire. Ne serait-​ce pas plutôt un moyen de remplir les poches de nos finances publiques ? Bien que plus engagées en faveur de l’écologie, les nouvelles géné­ra­tions ne sont pas plus res­pon­sables que leurs aînés. 48 % des jeunes majeurs ont pris l’avion au moins une fois au cours des trois dernières années. Pas certain, donc, que la taxe empêchera les Français de décoller… 

    Hommes au volant,…

    Après le récent décès d’un cycliste causé par un auto­mo­bi­liste à Paris, la question du com­por­te­ment des hommes au volant se pose. Les sta­tis­tiques de la Sécurité routière indiquent que les hommes sont res­pon­sables de 84% des accidents mortels. Mais pourquoi ? Serait-​ce la démons­tra­tion d’une virilité inculquée dès le plus jeune âge dans certaines familles. Telle qu’elle est perçue dans notre société, elle pous­se­rait en effet des hommes à adopter des com­por­te­ments dangereux. Pour eux, la route est une arène où il faut affirmer son identité masculine. Insultes, violences, non-​respect du code de la route : leurs dérapages sont nombreux. Et si la vraie preuve de leur virilité était de sauver des vies en levant le pied ?

    Le cinéma a besoin de nous ! 

    C’est vrai, les écrans de télé­vi­sion sont de plus en plus grands, de plus en plus beaux. C’est vrai aussi, la fil­mo­gra­phie la plus riche est acces­sible depuis son salon et pour une dizaine d’euros grâce à Netflix and Co. Et pourtant. Comment comparer l’expérience des salles feutrées avec celle d’une soirée Netflix pour profiter de cet art, celui qui rassemble les six premiers. De la même manière, nul ne saurait apprécier la richesse du Musée du Louvre en par­cou­rant seulement les œuvres sur Google Image. Difficile également de ressentir l’énergie brûlante d’un concert avec une simple playlist Spotify. L’expérience ciné, c’est la communion. Celle qui nous a manqué au début de la décennie. Et elle est à portée de main, mais fragile… Les cinémas ont besoin de nous !

    Le passé est passé

    Le blues post-​olympique a frappé ! Désireuse de laisser à la France un héritage des très réussis jeux de Paris 2024, la maire de Paris Anne Hidalgo a annoncé vouloir péren­ni­ser la présence des anneaux olym­piques sur la tour Eiffel. Au moins jusqu’en 2028, année des Jeux de Los Angeles. Mais l’initiative ne fait pas l’unanimité. Et pour cause. Au delà des possibles alté­ra­tions que la tour Eiffel pourrait subir, certains amoureux du patri­moine ne peuvent accepter que le symbole de la France ne devienne qu’un pur produit des Jeux olym­piques. Les anneaux doivent-​ils suivre l’exemple de la flamme et rejoindre le continent américain ? Ou doit-​on s’habituer à un symbole de la France dénaturé ? Le débat est lancé pour les quatre pro­chaines années.

    C’est la dernière !

    La rentrée scolaire est une période que beaucoup redoutent – j’en fais partie -, mais qui, tout compte fait, nous assagit gran­de­ment. On se lance vers l’autre, vers soi aussi, on apprend comment tourne le monde, et on finit par se concen­trer sur une partie bien précise de ce qu’il régit. À douze ans, si on m’avait dit que j’écrirais un billet d’humeur, je me serais non seulement demandé : « c’est quoi, un billet d’humeur ? », mais j’aurais surtout été très surpris d’apprendre que je vouerai une partie de ma vie à informer la popu­la­tion. Les gens d’ici ou d’ailleurs, qui habitent en face de chez moi, mes parents, ceux qui repré­sentent un petit point dans le paysage ; ceux que je ne connaî­trais pro­ba­ble­ment jamais. Et ça, d’une certaine manière, c’est grâce à la rentrée scolaire. Alors, pour la dernière fois où je franchis les portes d’une uni­ver­sité en tant qu’étudiant, je tenais sim­ple­ment à vous souhaiter une heureuse, une belle et épa­nouis­sante rentrée ! 

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    Contrepoint n°37