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    Huit joueuses du club de Villeneuve‑d’Ascq deviennent semi-professionnelles

    Alors qu’elles évoluent au cœur du meilleur cham­pion­nat de France de rugby, l’Élite 1, les joueuses de l’équipe féminine de Villeneuve‑d’Ascq ne béné­fi­cient pas du statut pro­fes­sion­nel. Face à cette situation anormale, le club a décidé de les rémunérer.

    Laura Di Muzio, pré­si­dente du Stade Villeneuvois Lille Métropole (LMRCV) déclare : « Nous sommes les premiers de l’élite féminine à lancer le projet de semi-​professionnalisation (…),grâce à la mise en place de CDD sportifs. Franchir cette étape permet au club d’entrer dans l’histoire du sport féminin ». Depuis le 18 août, huit joueuses béné­fi­cient de ces contrats, assortis d’une rému­né­ra­tion mensuelle de 550 €, en plus des primes de matchs que l’ensemble des joueuses tou­chaient déjà. De son côté, Fanny Camus, demi de mêlée au sein de l’équipe explique : « au quotidien on fait des choix, notre vie est rythmée par le rugby mais on sait très bien qu’au­jourd’­hui on ne pas en vivre. »

    Faire bouger les lignes

    Il reste encore beaucoup à faire si l’on veut voir les joueuses obtenir le statut de pro­fes­sion­nelles du rugby et donc une rému­né­ra­tion stable pour toutes. Adeline Delforge, troisième ligne, ne fait pas partie du groupe des huit rému­né­rées mais salue le projet : « c’est un point de départ, ça va permettre de faire bouger les lignes parce qu’on sait qu’aujourd’hui le rugby féminin est encore beaucoup trop caché ».

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