Plus

    Derniers articles

    Ils disent non à la réforme des retraites

    Jeudi dernier, à la manifestation de Douai contre la...

    Pierre Dubreuil : hommage en noir et blanc au pho­to­graphe lillois

    Avis aux passionnés de photographie ! L’exposition « Pierre Dubreuil –...

    Entre pes­si­misme et espoir comment Yann Arthus-​Bertrand voit le futur

    Yann Arthus-Bertrand est l’une des figures les plus connues...

    La cyclo logis­tique : un futur à deux-​roues pour les métropoles

    À Paris, la livraison est devenue un pilier de l’économie. Les camion­nettes qui tournent sans cesse dans la capitale se cherchent un remplaçant. 

    Click, Scroll, Acheter, Régler. En quatre étapes, depuis chez vous, vous voilà devenu pro­prié­taire de cette chemise en lin. Cette machine dont vous venez d’activer les engre­nages, utilisée par plus de 90 % des Français, s’appelle e‑commerce. Son fonc­tion­ne­ment repose sur une logis­tique bien rodée, basée sur l’utilisation de véhicules polluant dont l’utilisation a augmenté de 57 % depuis 1990. Alors que les métro­poles bruyantes et polluées attirent de moins en moins, il est devenu indis­pen­sable de changer de modèle. C’est le vélo qui apparaît comme le futur champion de la livraison. Silencieux et durable, le deux-​roues séduit aussi par son effi­ca­cité. La cyclo logis­tique jouit néanmoins d’une mauvaise presse suite aux dérives de Deliveroo et Uber Eat. En parallèle, un nombre important d’entreprises ver­tueuses qui font du vélo la clé de voute de leur activité, notamment à Paris.

    Remplacer le capi­ta­lisme par une bonne sieste 

    C’est le cas d’Olvo. Cette coopé­ra­tive pari­sienne a décidé de lier social et économie durable. « On change de paradigme, explique l’un, tandis qu’une autre montre avec fierté le panneau d’entrée : « Remplacer le capi­ta­lisme par une bonne sieste ».

    Comment bousculer le modèle établi ?

    « À la base, confie Willem, com­mer­cial d’Olvo, les seuls inves­tis­seurs de la coopé­ra­tive sont les socié­taires, qui sont les salariés qui acceptent de mettre une partie de leur salaire dans l’entreprise », continue-​t-​il. Ce mécanisme n’est pas anodin. Il fait des salariés qui le veulent des inves­tis­seurs. Résultat : les salariés ont un pouvoir de décision, un inté­res­se­ment sur les revenus de l’entreprise, et un accès libre à l’information « jusqu’au grilles sala­riales des collègues ».

    Remettre en cause le modèle de l’activité unique

    « On ne fait presque pas de marge sur la livraison », glisse Willem. Olvo a trouvé la parade : diver­si­fi­ca­tion. Création et vente d’un dispatch, sous-​location d’espaces dans l’entrepôt, ou encore répa­ra­tion de vélo. C’est là que Niels présente sa « bat cave », où, loin du reste du monde, lui et ses vélos per­mettent à la coopé­ra­tive de rouler.

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    La fin de l’âge d’or de la bière arti­sa­nale à Bruxelles ?

    Aussi appelée bière artisanale, la craft Beer accompagne les soirées des Bruxellois depuis plus de dix ans. Dans ce pays où la bière est...

    Outre-​mer : le prix du billet d’avion, un obstacle au rap­pro­che­ment familial 

    Bien que français, les outre-mers sont des territoires géographiquement éloignés de l’Hexagone. L’avion demeure alors le seul moyen de transport permettant à la population...

    Créer son entre­prise, le début d’une aventure qui attire toujours plus de monde

    Clément jeune, chef d'entreprise, raconte son parcours et ses expériences, car la voie dans laquelle il s'est lancé n'est pas conventionnelle. À bientôt 31 ans...