Plus

    Derniers articles

    « L’effet tunnel », maître-​mot du procès des six gardiens de la prison de Lille-Sequedin 

     Le 13 octobre, six gardiens de la maison d’arrêt...

    Maltraitance dans une crèche privée de Villeneuve d’Ascq : deux ex-​employées devant la barre

    Ce lundi 23 septembre, deux ex-employées d'une crèche People...

    L’ange de Noël : un symbole tra­di­tion­nel, pas près de s’envoler à tire-d’aile

    Drapée d’un blanc immaculé et pourvue d’une paire d’ailes...

    « Le bonheur est pour demain » ou le retour de l’amour impossible

    Dans cette fiction inspirée de faits réels, “le bonheur est pour demain” de Brigitte Sy interroge la force des sen­ti­ments, confron­tés aux aléas de l’existence humaine, pour dresser le portrait au féminin de ce combat permanent.

    1994, le Nord, les années Mitterrand, Sophie (Léätitia Casta), vendeuse dans un vidéo club, rencontre un soir Claude (Damien Bonnard). Elle ne sait rien de lui, il ne sait rien d’elle. Braqueur, il va être condamné à une lourde peine. Quelles qu’en soient les consé­quences, Sophie n’est pas prête à renoncer à cet amour naissant.

    De l’image à l’écran

    Inspiré d’une histoire vraie, tourné en seulement trente jours, ce film sort la semaine prochaine au cinéma. Brigitte Sy réalise un méti­cu­leux travail de com­po­si­tion des plans qui attise le regard. “Avec Frédéric Serbe (co-​auteur et chef op) on sou­hai­tait une image très stylisée, très forte. L’idée était de construire un retour au réel et donc de jouer sur la colo­ri­mé­trie. Les couleurs se dur­cissent car elle-​même (Sophie) se durcit.” Des couleurs acidulées des néons d’un bar au mur gris à l’odeur de tabac froid, la réa­li­sa­trice sou­hai­tait tourner dans le Nord. “Je trouvais qu’il était important de garder la tem­po­ra­lité de l’histoire. Il n’y a pas beaucoup d’en­droits en France où l’on peut être hors du temps et recréer quasiment une époque.

    Laetitia Casta méconnaissable

    Laetitia Casta révèle à l’écran la justesse de son jeu dans une forme d’opacité mys­té­rieuse. Un choix que nous explique la réa­li­sa­trice : “Je n’avais pas envie d’avoir une actrice attendue sur ce rôle-​là, et qui aurait porté quelque chose de très natu­ra­liste.” Malgré un scénario avare en mots et quelques fautes de casting, Brigitte Sy signe un hommage aux femmes, mais surtout à la leur force et leur courage. “Ce film est une ode aux femmes, et surtout à celles qui se battent seules.”

    Le calen­drier de l’Avent ou quand l’attente devient business

    -24, -23, -22… la course est lancée. À qui...

    Deuil animal : quand la société ne reconnaît pas la douleur

    Ils partagent nos joies, nos peines, nos sourires et...

    Lille : quand notre santé mentale impacte nos achats

    À l’approche de l’hiver, la baisse de moral pousse...

    Contrepoint n°40

    La langue de Cervantes au cœur d’une lutte culturelle

    Ce qui ne devait être qu’une querelle feutrée entre intellectuels est devenu un duel public entre deux des plus hauts gardiens de la langue...

    Halloween : une fête effrayante pour la planète ?

    Chaque année, Halloween inonde les rues de terreur… et de déchets. Mais à Lille, de plus en plus d’habitants décident de la célébrer autrement,...

    Festival talents jeunes : un enga­ge­ment par l’image

    L'association Rencontres audiovisuelles a projeté ce 30 octobre à la maison des associations plusieurs films résultant de l'initiative Cinematomedia. Au programme, 5 courts métrages...