Plus

    Derniers articles

    Lille : 18 mois de prison ferme pour trafic de drogue

    Devant le tribunal judiciaire de Lille, un couple a...

    Phenix : la start-​up qui lutte contre le gas­pillage alimentaire

    Alors que le gaspillage alimentaire représente plus de 16 milliards...

    Manifestations spon­ta­nées dans le centre-​ville de Lille

    Une odeur de bombe lacrymogène traînait dans les rues...

    Love Actually : 5 secrets derrière ce film culte !

    Noël est le moment des fêtes, de la famille et de l’amour, mais aussi celui des films culte qui animent cette période, même si on les connaît déjà tous par cœur. Il a été diffusé le dimanche 11 décembre sur TF1 et son succès reste incon­tes­table. Aujourd’hui on vous révèle 5 secrets sur le film Love Actually

    1. Le film devait s’appeler Love in London

    Love actually retrace dix histoires d’amour au temps de Noël, qu’il s’agisse de l’amour d’un père envers son fils ou celui d’une secré­taire pour son patron, tous les per­son­nages sont reliés entre eux. Le film débute cinq semaines avant Noël, jusqu’au jour de la célé­bra­tion. L’action se déroule quasiment uni­que­ment à Londres, le réa­li­sa­teur sou­hai­tait alors appeler le film “Love in London”. Finalement, dans le générique, Hugh Grant prononce la phrase suivante : “Love actually is all around”. Le réa­li­sa­teur décide donc d’appeler le film Love Actually, pour la référence mais aussi pour la signi­fi­ca­tion, soit “l’amour réel­le­ment” ou “l’amour en fait”, qui induit la sub­jec­ti­vité des dif­fé­rentes histoires retracées.

    2. Le secret derrière les images de retrou­vailles à l’aéroport

    La scène de l’aéroport qui ouvre le film plonge direc­te­ment les spec­ta­teurs dans le sujet ! Deux amoureux s’enlacent, une mère retrouve ses deux filles, tant de scènes d’amour divers qui ont ému tout le monde. Et bien sachez que ces images sont le reflet d’amours purs et sincères, puisqu’il s’agit de vraies images que l’équipe a tournées en caméra cachée, avant de demander aux personnes concer­nées s’il elle pouvait les utiliser dans Love Actually

    Mark lorsqu’il déclare son amour à Juliet. ©LilouMacéLapeyrère

    3. Un pic caché au per­son­nage d’Andrew Lincoln

    Mark, aka Andrew Lincoln est sûrement l’un des per­son­nages qui nous fait le plus de peine à cause de son amour caché et non réci­proque envers la femme de son meilleur ami (Keira Knightley ou Juliet dans le film). Le réa­li­sa­teur fait com­prendre cet amour insoup­çonné lorsque Juliet demande à Mark les films de son mariage, celui-​ci prétend ne pas les posséder puisqu’en réalité il ne filme qu’elle sur tous les plans. Le réa­li­sa­teur a placé un pic pour Mark, si vous regardez bien le moment où Juliet visionne la cassette, vous verrez le film Fenêtre sur cours caché sub­ti­le­ment en référence au voyeu­risme de Mark.

    4. Pourquoi Daniel et son fils regardent Titanic

    Après que Sam ait avoué à son père son amour fou pour une fille de sa classe, celui-​ci décide de l’aider à trouver des idées pour la séduire, avant que Johanna ne retourne aux États-​Unis. C’est alors qu’on voit Daniel montrer Titanic à son fils. Il ne s’agit pas d’une scène lambda, en vérité c’est une référence au film Raison et sen­ti­ments, dans lequel on retrouve les acteurs prin­ci­paux de Love Actually ainsi que Kate Winslet. Une façon pour le réa­li­sa­teur de lui adresser un clin d’œil subtil.

    5. Love Actually n’aurait jamais dû voir le jour

    À l’origine, Richard Curtis tra­vaillait sur deux films distincts en même temps, un sur l’histoire d’amour d’Hugh Grant (David, le Premier ministre) et un autre sur celle de Colin Firth (Jamie, l’écrivain). C’est alors que le réa­li­sa­teur a trouvé les deux histoires très simi­laires. Il a donc eu l’idée de les réunir et d’y ajouter d’autres histoires pour produire un seul et même film.

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a...

    La rue d’Aerschot, vitrine de la pros­ti­tu­tion à Bruxelles

    Le 2 avril, une nouvelle loi concernant la prostitution...

    Street Art : deux artistes qui égayent les quartiers

    Dans les rues de Bruxelles, le street art s’exprime...

    Contrepoint n°28

    Le musée Magritte fait déjà peau neuve. Un nouveau visage qui séduit

    Après six mois de travaux, le musée Magritte a rouvert ses portes le 7 octobre dernier, dévoilant un visage plus moderne et interactif. Une...

    Le Cabaret Mademoiselle : des show incan­des­cents où les éti­quettes n’ont pas leur place !

    Néons violets, murs tapis de noir et petite scène étriquée, au Cabaret Mademoiselle, chaque week-end, la salle est rythmée par des perfomances plus détonnantes...

    Bruxelles : trois clubs et autant de pos­si­bi­li­tés de célébrer le foot

    Bruxelles entretient une longue histoire d’amour avec le ballon rond. Certains voient la ville comme la nouvelle capitale européenne de la discipline. Cette saison, trois...